Premières vacances
Datte: 20/03/2019,
Catégories:
2couples,
fplusag,
jeunes,
vacances,
campagne,
noculotte,
Oral
pénétratio,
Auteur: Amenophis, Source: Revebebe
... habité… Et nous les avons vues. Deux grandes femmes d’environ quarante ans, avec un air de famille. Toutes deux habillées d’une longue jupe ample de couleur marron et d’un corsage à petites fleurs qui semblait contenir de lourdes poitrines. « Si tu es blonde à forte poitrine… » Elles étaient blondes comme les blés, le cheveu un peu hirsute.
— Ouuuh ouuuh ! Les garçons, venez, venez ! Approchez !
L’accent était germanique mais pas trop prononcé. On a posé les motos contre une barrière et on s’est approché en souriant un peu gauches.
— Bonjour ! On est un peu perdus, mon cousin et moi, on cherche un endroit où on pourrait manger ! Vous connaissez ça ?
— Il n’y a rien dans le coin, les garçons. Mais venez, on va s’occuper de vous !
Avant que nous n’ayons pu protester de quelque manière que ce soit, les deux femmes nous avaient entraînés vers l’arrière de la maison, sous un très vaste auvent qui devait leur servir de salle de séjour. Outre deux balancelles, il y avait une grande table de ferme et deux bancs. Pendant que l’une nous installait de part et d’autre de la table, l’autre disparaissait à l’intérieur de la maison pour revenir avec un plateau chargé de cochonnailles, de pain et d’une bouteille de vin.
— Voilà ! Servez vous !
— Mais, je…. Combien ça coûte ?
— Oh ! Ne vous vous occupez pas de ça. Vous êtes nos invités. Voilà, je suis Erika, et ma sœur, c’est Sonia. Et vous !
— Moi je m’appelle Marc, et mon cousin c’est Jean Mi.
— Enchanté. Allez-y ...
... mangez.
Nous nous sommes attaqués aux pâtés et autres saucissons avec ardeur. Erika vint s’installer au bout du banc où j’étais assis et Sonia fit de même du côté où était mon cousin. Nous étions un peu gênés et ne savions que dire. Après quelques minutes de mastication, je remarquai que Sonia s’était rapprochée de mon cousin. Je vis Jean Mi s’arrêter de manger et déglutir avec difficulté. Je ne voyais pas ce qui se passait sous la table, mais le bras de la jeune femme était positionné de telle manière qu’elle était sans aucun doute en train de peloter l’entre cuisse de son voisin. Gêné, je me tournai vers Erika en souriant. Et… Je sentis le sang envahir mes joues. J’ai dû rougir comme une jeune fille. Jambes repliées, elle avait mis les deux pieds sur le banc qui était assez large, ce qui lui permettait d’écarter les genoux, découvrant que sous sa large jupe, elle ne portait aucun sous-vêtement. J’avais une vue imprenable sur sa chatte à la toison blonde, au milieu de laquelle un clitoris de bonne taille était largement étalé à ma vue. J’étais en pleine confusion. L’expérience venant, je sais désormais que ce genre position n’est jamais fortuit de la part de nos compagnes. Surtout lorsqu’un mâle louche outrageusement sur l’endroit en question. Mais à cette époque, j’étais encore bien naïf, et je n’avais aucune certitude sur le fait que cette exhibition soit délibérée. Avec effort, je reportai donc mon regard sur le visage de ma voisine. Son sourire était lumineux. Comme attirés ...