1. Premières vacances


    Datte: 20/03/2019, Catégories: 2couples, fplusag, jeunes, vacances, campagne, noculotte, Oral pénétratio, Auteur: Amenophis, Source: Revebebe

    Premières vacances sans les parents, le pied ! Obtenir l’accord et le financement n’avait pas été immédiat, mais finalement ça n’avait pas été si difficile que ça. Bien qu’encore étudiant, j’étais sorti de l’adolescence quand même ! Pour emporter la décision, j’avais sorti une dernière arme : on partait à deux avec mon cousin qui était plus âgé que moi de deux ans. Ce fut l’argument décisif. C’était paradoxal, parce que malgré ces quelques mois de plus, Jean Mi n’était pas plus sage que moi, et certainement moins « mûr ». Mais bon ! Les parents ont parfois des raisonnements surprenants… Sauf que lorsque vient notre tour d’être père ou mère, on est frappé d’amnésie et on se comporte de la même manière. Le plus difficile par contre, avait été de faire admettre que nous ferions le trajet en moto. La discussion avait été longue, mais finalement ça avait marché.
    
    On s’était donc installés dans ce camping au bord de l’Ardèche. À l’époque, le tourisme était nettement moins développé qu’aujourd’hui dans cette région et c’était plutôt tranquille.
    
    Deux jeunes gars en vacances, ça drague, bien sûr. Nous allions sur une petite plage au bord de la rivière et nous faisions ce que nous pouvions. Mais ce n’était pas facile parce que les filles qui étaient là, y étaient en famille. À cette époque, deux gars en vacances seuls, ça commençait tout juste, mais pour les filles, ce n’était pas encore gagné.
    
    Nous avions donc fait quelques travaux d’approche, mais rien de bien excitant. Jean ...
    ... Mi avait réussi à flirter avec une petite blonde qu’il avait embrassée, un peu pelotée, mais dès qu’il lui avait mis la main dans le slip de bains, elle s’était débattue et il avait dû battre précipitamment en retraite. « La bibise d’accord ! Mais pour le reste pas d’accord ». Bref, au bout de 15 jours, on commençait à avoir les kiwis « comme des petits melons ». D’autant que par bravade de cousinage, nous voulions nous prouver l’un à l’autre que nous étions adultes, et que désormais seule une femme pouvait nous convenir. Pas question de recourir à la petite branlette qui soulage. Tu parles ! L’un comme l’autre, nos expériences de baise étaient si peu nombreuses, que si nous ne nous étions contentés de ça dans la vie de tous les jours, ça aurait été la misère sexuelle intégrale.
    
    — Ras le bol de la plage et des petites connes ! dis-je un soir à mon cousin. Demain on prend les motos et on part en ballade.
    — Eh, attends ! J’ai repéré une petite rousse…
    — Tu parles ! Ca fera comme les autres ! Elle est avec ses vieux ?
    — Ben… Ouais !
    — T’as une chance sur cent. Viens en ballade, ça nous changera. Faut qu’on arrête d’y penser ! Ça nous bloque.
    
    C’est comme ça qu’on est partis en moto dans les confins des montagnes ardéchoises. Nous sommes passés dans des chemins pas possibles, et vers midi, on s’est mis à chercher un village, un bistrot où trouver de quoi manger un sandwich. Rien ! Et finalement nous avons aperçu une ferme. Nous nous sommes approchés pour voir si c’était ...
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