1. La Gestionnaire (12)


    Datte: 23/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... atteindre des sommets vertigineux. Les vagues du plaisir arrivent régulièrement. Chacune de mes mains actionne une bougie. Le plaisir me terrasse. Je ferme les yeux. Derrière me paupières c’est un véritable feu d’artifices. Je grogne comme une bête ma jouissance. Je retombe encore une fois dans un état de petite mort. L’orgasme vrai, franc, fort me fait perdre la notion du temps. J’ouvre les yeux. La nuit est tombée. Je suis encore prise avec mes deux bougies. J’ai honte mais quel pied j’ai pris. J’extrais non sans difficulté la première bougie de mon sexe. Je suis obligée de planter mes ongles dans la bougie et de tirer doucement. Mon sexe ne veut plus libérer le sexe factice. Je tire d’un coup sec. La bougie sort en m’arrachant un cri de douleur. Mes jus ont dû sécher sur le corps de la bougie. Pour celui de mon cul, il me suffit de pousser comme si j’allais aux toilettes. Je pose les deux objets qui portent les traces de mon inconduite sur ma culotte. Je me love en chien de fusil et m’endors.
    
    SAMEDI SOIR
    
    Aujourd’hui j’ai travaillé dans le jardin. J’ai sarclé, biné, semé et arrosé tous les parterres. Je rentre vers dix-huit heures. Je suis moulue. Je vais prendre une douche. C’est une chose horrible. Dès que je me lave, immanquablement, je me retrouve avec une énorme envie de sexe. Ma chatte, sitôt lavée, s’humidifie de mes sucs. Je vais être obligée de satisfaire mes envies. Je n’ai pas envie d’amour simple, de masturbation facile. Je veux quelque chose de plus dur ...
    ... de plus fort. Je descends dans notre chambre spéciale. J’allume les spots. J’enclenche le magnétoscope. Je veux que tu saches ce dont je suis capable lorsque tu n’es pas là. Au milieu trône le lit des supplices. Je me mets nue. J’ouvre le meuble des objets. Je sors un bâillon boule. Je me l’installe. Je suis à genoux au milieu du lit, les jambes très écartées. Je plonge la main dans le tiroir. Je trouve pêle-mêle, des pinces à linge en inox. Tu me les as achetées lors de mon dernier voyage à Paris, dans un magasin très spécialisé. Je triture l’une de mes pointes de sein. La fraise se gonfle. Elle me procure des élancements dans toute ma poitrine. J’ouvre les yeux.
    
    Je me découvre dans les glaces qui tapissent les murs. Je saisis la pince et la lâche sur la pointe irriguée de sang. La douleur est violente, mais bonne. Je crie dans mon bâillon. Des larmes coulent de mes yeux. Je pleure pour toi. J’attends quelques secondes et je réitère ma même manœuvre sur l’autre téton. Deuxième brûlure ! J’ai beau m’y attendre, je ne peux pas me faire à cette douleur. Il faut pourtant que j’arrive à me dominer. Je laisse mes seins s’habituer. Je dois continuer. Je prends deux sangles. Je me les pose au niveau des cuisses. Elles sont munies d’un anneau. Deux nouvelles pinces sortent du tiroir. Ce sont des pinces avec des dents comme pour tenir les chignons de nos mères. Elles sont munies d’un élastique et d’un mousqueton. Je les fixe aux anneaux des sangles. Je tends doucement l’élastique. ...
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