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La Gestionnaire (12)
Datte: 23/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
MARDI SOIR Depuis ton départ précipité, je me demande pourquoi tu m’as quitté comme un voleur. Qu’ai-je fait pour que tu acceptes ce job ? Pourquoi m’as-tu laissée seule ? Je m’ennuie toute seule chez moi. Je suis rentrée de l’Université vers dix-neuf heures. Je me suis mise à préparer un repas, mais je n’ai pas faim. Dans le réfrigérateur, deux poches de légumes attendent. Je décide de me faire un gratin de légumes. Mais tu me manques. Je pense à toi sans cesse. J’ai envie de ta queue. J’ai une énorme envie de sexe. J’ouvre la première poche. Les carottes roulent sur la paillasse. Une idée germe brutalement en moi, une envie de bite subite dans mon ventre. Je choisis deux belles carottes. Elles ne sont pas très longues, mais larges. Elles sont lisses et uniformes. Je les passe sous le robinet. Je les lave. J’ai beau me dire que ce que je vais faire est ridicule et obscène, mais je ne peux pas m’empêcher de continuer. J’appuie mes fesses sur la paillasse. Je remonte ma jupe sur mes cuisses. Je cale le bas de celle-ci dans la ceinture. J’imagine des scénarios où des femmes se donnent du plaisir interdit... Je frotte la première carotte sur mon entrejambe. Ma culotte (j’en porte depuis ton départ) est humide. Je sens mon clitoris gonflé, excité. Je m’installe les jambes très écartées. Je ne résiste plus. Je glisse la carotte sous l’élastique de la culotte. Je la fais glisser entre mes lèvres humides. C’est froid ! De haut en bas je frotte avec énergie. Je titille mon ...
... clitoris. Mon bassin se met en marche. Des mouvements incontrôlés d’avant en arrière me secouent. Je n’y tiens plus. Mon sexe s’ouvre et je m’introduis le légume humide de l’eau de lavage et de ma mouille abondante. La carotte est entrée toute seule comme aspirée par mon sexe avide. Il ne reste plus que quelques centimètres hors de mon ventre. D’une contraction vaginale, j’expulse le gode improvisé. Mais le plaisir est encore là. La carotte est de nouveau avalée par mes lèvres humides, avides de la présence d’un objet en leur sein. De mon autre main je malaxe mon clitoris. C’est sa fête. Tiraillé, écrasé, pincé, tourné, torturé entre les doigts, il se gonfle de sang. La douleur fait place au plaisir. J’arrête car je vais jouir. Je veux que le plaisir continue. Je m’empare de l’autre carotte. Je l’humidifie elle aussi. Je ne tiens plus. J’ôte ma culotte. Elle reste autour de l’un de mes pieds. Je n’ai pas le temps de l’enlever complètement. Je m’enfonce de nouveau la belle carotte bien au fond de ma chatte épilée. Elle a trouvé sa place sans aucune difficulté. Le passage gras entre mes lèvres a facilité l’intromission. L’autre légume humide passe dans mon dos. Je l’approche de mon petit trou. J’écarte mes fesses pour libérer le passage. Je caresse la rondelle fripée. L’extrémité orange vient titiller mon anus. Je le sens s’ouvrir. Je pousse le légume dans mon fondement. Il me semble hésitant. Mais je pousse et écarte mes fesses. Je pousse comme pour chier. Cette fois cela a ...