-
La Gestionnaire (12)
Datte: 23/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... monte. Je ralentis mes caresses pour faire durer cet instant magique, juste avant la jouissance. Je me regarde dans la glace qui cache la porte de ma roberie. Je caresse mes lèvres avec mon index. Je les écarte bien. Le spectacle de mon vagin bien ouvert et humide m’excite. La position est pornographique, presque médicale. Je me vois offerte à mes regards lubriques. Je voudrais que tu sois à la place de cette glace. Tu pourrais voir que je suis une belle salope. Mon sexe coule comme une fontaine. Les draps portent les traces de mon excitation et de mes jouissances répétées. Le plaisir est trop bon. Je joue avec mes doigts, mon clito, doucement de plus en plus doucement. Je suis au bord de l’orgasme. Je me titille pour rester à la limite de la jouissance suprême. Ne pouvant plus résister, j’augmente la pression sur mon clito. Cela ne se fait pas attendre et au bout de quelques secondes, je jouis. JEUDI SOIR J’ai attendu le livreur du salon. Vers 18 H 30, il sonne au portail d’entrée. Afin de lui faciliter le déchargement, je lui ouvre et le guide au plus près de la terrasse. C’est un jeune homme de 30-35 ans qui descend. Il est carré d’épaules et d’origine maghrébine. Ses cheveux bouclés noirs adoucissent ses traits. Ses yeux noirs aussi me jaugent et m’évaluent de haut en bas, comme le ferait un maquignon d’une bête sur un champ de foire. Il faut dire que j’arrive juste et que je n’ai pas eu le temps de me changer. Je porte un chemisier blanc dont le décolleté laisse ...
... apparaître le sillon de mes seins. J’ai un soutien-gorge pigeonnant qui rassemble et fait jaillir littéralement mes seins. J’ai ma grande jupe portefeuille qui à chaque enjambée découvre une grande partie de ma cuisse. Comme tu me l’as demandé, je ne porte plus que des bas. En montant les marches de la terrasse, mes talons hauts m’obligent à soulever les genoux, plus haut. Ainsi, il peut voir le liseré plus sombre de la bande élastique de mon bas qui coupe la blancheur de ma cuisse. Il ne se gêne pas pour regarder et contempler le spectacle. Je lui demande de me l’installer. Il sort les différents cartons et déballe un fauteuil. Il me propose de l’essayer. Je m’assois. Ma jupe remonte au-dessus de mes genoux et glisse sur ma cuisse. La bande de peau nue au-dessus de mon bas est dévoilée par la fente de la jupe. Il continue d’ouvrir les cartons. Il prend son temps. Il plie consciencieusement chaque carton. Je m’aperçois qu’il fait cela juste en face de moi. Ainsi en relevant un peu la tête, il a une vue directe sur mon entrejambe. De voir que je ne lui suis pas indifférente, m’excite. Insensiblement j’écarte mes genoux. Son regard fouille sous ma jupe. Il continue son travail. Malgré moi, je sens un léger désir monter en moi. Le livreur a terminé. Je lui propose une boisson. Il accepte. Pour me relever, je suis obligée d’écarter encore plus les genoux. L’autre panneau de ma jupe s’échappe. J’offre le spectacle de mes jambes gainées de bas noirs et de slip noir séparé par une ...