Séduction délicate de la soeur de ma mère (17)
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... En l’écrasant immédiatement.
— Bon on va se coucher ? En éteignant la lumière.
— Euh Véro tu oublies que je dors en bas, les garçons sont en haut.
— Oooh quelle gourde, j’avais complètement oublié ! Bon alors à demain et lève-toi tôt…
Le lendemain Véro prenait son petit-déjeuner, j’arrivais en caleçon en lui faisant un petit smack. Devant sa tasse, ma tante m’observait en pensant à quelque chose. Elle était belle, tout simplement désirable le matin avec sa chemise de nuit ouverte et ses mollets à la peau blanche avec ses chevilles élégantes.
— Quoi ma Véronique ?
- Euh comment fait-on pour nous ? Dit-elle sur un ton préoccupé.
— Ah je vois…Ne fais pas de bruit et allonge-toi sur la table, je ne vois pas d’autre solution. De ma chambre on n’entend pas les garçons, enfin le bruit qu’ils font. Lui conseillai-je.
— Oui tu as raison, j’avais pensé au salon mais nous verrons par la suite. En enlevant sa robe tout en gardant sa chemise de nuit.
La scène n’était pas très glamour à vrai et dire. Nul baiser d’échangé, nous étions dans un coït pur. Véro s’étendit sur la table en relevant sa chemise, elle écarta les jambes sans aucune retenue. Sur le coup, je pensais déjà à la prochaine fois car en la voyant ainsi, l’impression m’était donnée qu’elle allait juste se faire baiser par nécessité. De nature romantique, je n’étais pas choqué mais l’ensemble manquait cruellement de charme, d’une pointe d’érotisme. Certes il fallait la mettre enceinte et je n’allais ...
... pas faire la fine gueule non plus.
— Patrick dépêche toi ! Ca n’est guère prudent ton idée…
— Laisse-moi baisser mon caleçon…
Évidemment je ne me faisais pas prier et je la pénétrais tout en douceur, sans préparatifs. Elle avait les jambes levées et se laissait baiser sans la moindre émotion au début. Tout changea quand j’imprimais une cadence soutenue, vive presque électrique. Elle tressautait à chacun de mes assauts et commença à gémir avec de longs soupirs.
— Oui…j’aime le matin avec toi. Murmura-t-elle en me serrant les mains.
— Ca reste toujours génial de te sauter Véronique. En lui infligeant non plus des coups mais de grandes vagues en elle.
— Hmmmm…. Surprise agréablement de cette nouvelle pratique.
Je ne faisais que de grands allers-retours dans sa fente et une envie de dorloter ses pieds me vint à l’esprit. Mais Véro d’un signe de la tête m’incita à ne pas me disperser, le danger nous guettant avec les garçons à l’étage. Ainsi je continuais à limer ma tante qui savourait notre coït matinal de vagues en vagues. Ma jouissance fut subite et Véronique attrapa le train en marche sans faire de jeux de mots déplacés, le tout dans un silence de cathédrale, faisant exception de quelques petits cris étouffés à la fin de notre ébat.
— Pfiou…c’était nouveau cette façon de me faire l’amour. Dit-elle en enfilant sa robe de chambre.
— Oui mais c’est trop risqué Véronique, beaucoup trop. Même si on l’a déjà fait, on ne peut pas le faire comme ça tous les ...