1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (17)


    Datte: 18/03/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... du fait de nos aveux mutuels concernant l’amour que nous nous portions l’un à l’autre.
    
    Véronique accueillit ma langue pour débuter sur un baiser tout en sensualité, en se laissant introduire mon sexe gonflé à bloc. Je la pénétrais avec une facilité qui me déconcerta et j’en déduisis qu’elle désirait ce moment depuis fort longtemps. En femelle apprivoisée, elle attendait sagement que mon sexe soit bien installé pour chalouper avec élégance son bassin. L’envie d’une baise romantique se manifesta quand elle prit du recul, avec ses deux mains posées sur mes épaules, en conservant son rythme languissant.
    
    Je ne faisais qu’entendre son souffle en palpant les courbes divines de son fessier et j’avoue que sous son attitude nonchalante, je prenais mon pied à baiser ma tante de cette façon. Mais après de longues minutes, la nature reprenait ses droits et ma verge bercée par l’orifice confortable de ma tante commença à émettre des signes d’impatience. Nous échangions quelques baisers avec des regards aussi intenses, que cette sensation indéfinissable du plaisir de se savoir l’un dans l’autre. Je considérais ma tante comme une exception face à toutes les partenaires connues dans ce domaine.
    
    — Mmmmh! comme j’aime ce que nous faisons. Me souffla-t-elle avec une respiration aussi accrue que la mienne.
    
    — Oui. En lui enserrant le bas des reins, en la pressant contre moi.
    
    — Oh oui..viens…viens… En se contractant forte d’une jouissance en devenir.
    
    — Raaah ! Lachai-je en nous ...
    ... procurant du plaisir.
    
    — Oui…oui…oui… Fit Véronique en se recroquevillant contre moi au plus fort de son orgasme.
    
    Je parsemais ma tante de baisers dans son cou en multipliant les caresses sur ses épaules graciles jusqu’au bas de ses flancs. Elle nageait tout comme moi dans le bien être de notre foudroyante jouissance, du puissant orgasme qu’elle avait reçu. Après un dernier baiser, nous décidions de monter nous coucher, repus de sexe mais affamés de tendresse.
    
    J’enveloppais dans le lit ma tante nue, blottie contre moi gardant ma main en réconfort près de sa poitrine.
    
    Le samedi comme le dimanche passèrent très vite et elle récupéra ses deux garçons le soir. Ils dînèrent de bonne heure ayant école le lendemain. Une fois couchés, ce fut bien plus tard qu’enfin nous décidions de passer à table.
    
    — Je n’ai pas vu passer le week-end, je postule à un job demain après-midi. Patricia connait quelqu’un dans cette boîte. Dit-elle ayant désormais l’habitude de se vêtir en robe de chambre dès 20 heures.
    
    — Tu sais que j’ai gardé le contact avec Zusu père. Il possède des succursales en Europe et il s’intéresse à mon profil.
    
    — Ah bon ! Et que devient Ken, mon petit japonais ?
    
    — Il est très fier de son fils, il a rencontré une fille de son âge et poursuit ses études en Suisse. Quand j’aurais terminé mon stage avec mon diplôme, je vais certainement rencontrer Zusu père. En allumant une cigarette.
    
    — Patrick…tu avais dit que. En débarrassant nos assiettes.
    
    — Excuse-moi. ...
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