Cours en collectif - Histoires de Sexe

Cours en collectif

... journal ? Lui pourrait certainement libérer votre demeure de ces démons. Laissez-le un après-midi avec nous et…
— …Il défroquera avant une heure, sataniques tentatrices avides de dérèglements. J’ai bien vu comment vous avez entraîné Gilles, enfant vierge et pur en entrant dans ma demeure, désormais souillé par vos répugnantes sécrétions aux deux extrémités de son pauvre corps. Pour satisfaire pendant quelques minutes vos plus bas instincts, vous avez condamné son âme à une longue errance. Les vôtres disposent de peu de temps pour échapper à la damnation éternelle.
— Que vienne l’exorciste, nous ne sommes pas du genre à circonvenir un saint homme venant purifier les lieux avec violette étole et nous étions chacune dans nos chambres respectives…
— … Tellement chacune dans vos chambres respectives que j’ai ouvert la porte de la turne silencieuse et constaté que le lit n’y était même pas défait. Pas besoin de déranger l’exorciste, homme du plus grand mérite, mais certainement pas préparé à se défendre contre les démons succubes bien réels qui occupent ces lieux d’immoralité que seul l’Alphée pourrait nettoyer. Inutile d’ajouter la corruption à la débauche, vous avez besoin de virils maris pour revenir dans le droit chemin et nous les trouverons pour vous les imposer, dans votre intérêt. Seules des maternités à répétition pourront calmer vos emportements de la matrice. Si de nombreuses fois vous remplissez un berceau, les douleurs rapprochées de l’enfantement vous ...

... sauveront peut-être de la damnation éternelle !
— Brigitte, c’est horrible, nous vous demanderons pardon à genoux sur tessons et sommes prêtes à aller pieds nus et en robe de genêt doublé d’ortie, à Compostelle aux fins de nous rédimer.
— Inutile d’aller à Compostelle, même l’Océan serait impuissant à calmer votre feu libidinal et vous sèmeriez tout au long du saint Chemin la perversion qui sort de tous vos orifices, comme la chimère crachait le feu. Mais bientôt arrivera un Bellérophon pour vous mater. La cérémonie du pardon sera organisée, mais pour qu’elle soit envisagée, il faut que l’une d’entre vous s’occupe de Gilles, et l’autre de moi. Avec célérité, sans barguigner ni tergiverser : rongés d’anxiété, ses parents sont prêts à signaler sa disparition. Les punitions vous seront indiquées plus tard.

Catherine se soumet et vient me faire ciseaux pendant que Françoise s’installe docilement en levrette pour que Gilles puisse profiter de ses poignées d’amour et voir toute sa plastique onduler. Je vois l’homme progressivement prendre le contrôle de l’ex-tribade qui pourrait bien, pour ses prochaines ascensions, préférer la raideur du piton abrupt à la douceur de la vallée ouverte dans la forêt.

Le spectacle de cette féminité généreusement offerte, de ces cheveux fous dont il dirige les mouvements rien qu’en orientant son coup de reins, amène Gilles assez vite au sommet. Son cri rauque déclenche l’orgasme de Françoise et, conséquemment l’oubli des deux claudines toutes ...