Cours en collectif - Histoires de Sexe

Cours en collectif

... très étendus, même chez la blonde Françoise. Je joue donc le jeu de la conseillère principale d’éducation avec ces navigatrices à voile et à vapeur, et les promeus enseignantes.

— Fort bien, Gilles. Pour estimer les besoins de formation, montrez-moi ce dont vous êtes déjà capable. D’abord, quelle enseignante est volontaire pour tenir le rôle de sujet d’expérience ?

Françoise utilise soudain sa main gauche en guise de feuille de vigne et lève la main droite pour dire :

— Moi, Madame !
— Brigitte suffira. Nous sommes entre nous, trois membres du corps enseignant pour un seul membre apprenant.
— Bien Brigitte.

Puis, me tournant vers la jolie brune :

— Catherine, caressez-vous pour vous entretenir et rester prête à toute réquisition.

Et Catherine s’allonge sur le lit, jambes pendant dans le vide et très écartées. Elle s’exécute, manifestement coutumière de la manœuvre.

— Maintenant Gilles, vous allez annoncer vos actions avant de les accomplir.
— Ben… je vais l’enlacer.
— Il faudrait d’abord la courtiser, mais passons. L’enlacer sera plus agréable si vous commencez par la déshabiller.
— Ben… donc je la déshabille.
— Françoise, mettez un pyjama.
— Ceux de Catherine sont trop petits et trop courts pour moi.
— Avez-vous pris de telles précautions pour dévergonder l’innocent jeune homme que ses parents avaient envoyé ici en toute confiance pour des études tout ce qu’il y a de plus sérieuses ? Vous n’avez pas hésité à mettre en péril la réputation de ...

... votre employeur pour satisfaire vos viles fureurs utérines. Que diraient ses parents s‘ils apprenaient ce détournement ? Alors, pas de minauderies ni d’arguties vestimentaires, il s’agit d’un examen, pas d’un spectacle à la Comédie-Française. Il n’y aura aucun public pour juger de la seyance de vos accoutrements, d’ailleurs très temporaires.

Elle revêt le pyjama fuchsia, vraiment trop court et trop étroit pour elle. Ses hanches, si harmonieuses, sont même boudinées.

— Françoise, tournez lentement sur vous-même. Gilles, avant de toucher il faut regarder et apprécier. Qualifiez la silhouette de Françoise, la perfection de ses proportions, sa générosité déjà conséquente et si bien mise en valeur dans cette tenue très moulante. Regardez les grandes lèvres qui semblent vouloir, en deux bourrelets attirants, faire exploser le tissu molletonné. Dans la langue de Shakespeare, on dit « Cameltoe » (orteils de chameaux). Répétez : « Cameltoe » !

Gilles répète avec un accent pire que le mien, les deux profs reprennent le terme, entrecoupant leur diction d’éclats de rire.

— Continuons ! Gilles, exprimez en quoi sa féminité crée le désir dans votre être primal, en quoi vos instincts d’étalon seront satisfaits lorsque vous rejoindrez les tréfonds de ses formes rassurantes, là où votre apport aura les meilleures chances de prospérer. Elle doit se sentir pleinement femme, l’acte ne vise pas qu’à soulager vos glandes, vous devez honorer votre partenaire, je dis bien honorer. Répétez « ...