Cours en collectif
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fffh,
jeunes,
profélève,
soubrette,
Oral
69,
jeu,
strip,
pénétratio,
init,
poésie,
exercice,
Humour
Auteur: Brigitte de L., Source: Revebebe
... couchés. Dès les présentations, je constate que les donzelles le regardent avec un air intéressé. Elles exagèrent ! Je suis déjà très généreuse avec elles, si en plus je dois leur fournir de la chair fraîche !
Mignonnes comme elles sont, elles peuvent très facilement lever des garçons, et de qualité. Quel mâle refuserait de telles joliesses, sauf orientation vers les hommes ? Au fait, quelle est l’orientation de mes deux salariées ? Astiquant hier leur voilier pour un voyage jusqu’à Eresós, elles lorgnent ce soir sur le levier de vitesses du beau et intelligent jeune homme.
Nous avons, avant l’embauche, été clairs : elles font ce qu’elles veulent, mais il ne doit y avoir aucune incidence sur le travail. Si l’une veut passer une nuit avec un copain à l’extérieur, l’autre doit rester ici. Si cela se passe dans la chambre, nous voulons être prévenus et le voir au préalable. Nous pensions être larges, mais plus on en donne…
Le téléphone sonne, c’est Didier qui me dit devoir préparer une offre précise pour le lendemain matin. Je dois aller au bureau, trouver le dossier « Agents de voirie » dont il n’a pas de copie, il a besoin d’éléments pour rédiger un projet précis. J’annonce à la jeunesse devoir m’absenter pour plus d’une heure et saute dans la voiture. Je donne toutes les informations à Didier qui me dit que l’affaire a toutes chances de tomber dans notre escarcelle et je reviens beaucoup plus tôt qu’annoncé. Je suis surprise de n’entendre aucun bruit : cuisine, ...
... salon, tout est vide.
Le juvénile trio n’a aucune raison d’être au jardin, d’un coup je m’écrie :
— Les petites garces, me faire ça à moi, moi qui leur donne tant !
Vite à l’étage, je vérifie que les enfants dorment bien, mais ne peux ignorer feulements, soupirs et ahanements qui, tel un fleuve en crue, traversent la porte de la chambre de Catherine.
Que faire ? Jouer la matrone outrée, au risque que Gilles soit devenu si sûr de lui qu’il révèle sa première fois aux deux employées ; descendre et dîner seule ou au moins picorer. Prendre part aux jeux diminuerait beaucoup mon autorité future, bien que… Je vais m’amuser en montrant à ces chipies de quel bois je me chauffe.
J’attrape le double de la clé. Sous-vêtements stricts, jupe plissée bleu marine descendant sous le genou, jaquette assortie, chemisier blanc, escarpins vernis : je suis ma propre costumière. Je remonte, ouvre et, malgré la faiblesse de l’éclairage, vois un spectacle pour moi inédit. Gilles est sur le lit, allongé sur le dos, Françoise se chibre en poussant fort contre lui et elle embrasse Catherine qui se fait brouter par mon puceau d’il y a cinq jours. Quel chemin parcouru ! Il trouve la juste phrase pour détendre l’atmosphère sans me compromettre :
— Madame, j’ai anticipé le début du stage.
Les corps se séparent, j’approche et vois que les gousses devenues voleuses de chouchou sont, chacune dans leur registre, très attrayantes : leurs poitrines de nullipares sont très douces, leurs minous ...