Cours en collectif
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fffh,
jeunes,
profélève,
soubrette,
Oral
69,
jeu,
strip,
pénétratio,
init,
poésie,
exercice,
Humour
Auteur: Brigitte de L., Source: Revebebe
... veux, sans lui dire ce qui se passe ensuite. J’ôte mon sac à patates, l’astique et le pompe goulûment, il me demande de pouvoir se frotter contre moi. Je comprends son goût pour l’action, accepte et nous manœuvrons pour trouver un peu de confort.
Je lui parle de Catherine et Françoise, de ce qu’elles ne lui ont pas encore fait et il ne lui faut pas longtemps pour venir. Il est parfait, se maintient à distance suffisante de moi et je le remercie en nettoyant par de joyeux coups de langue son membre diminuant. Je le ramène en express et regagne le domicile conjugal.
Je découvre Didier en pleine conversation avec les deux employées au sujet des enfants, tous trois ayant terminé le repas. Je propose à mon époux de lui montrer un livre sur l’art. Avec la même histoire éculée de divergences télévisuelles, les deux jeunettes vont rejoindre leur chambre.
Cet après-midi, j’ai ouvert le canapé du salon, l’ai bien garni et, réglé pour n’éclairer que mon bassin, ai installé un fin projecteur. Je l’allume, éteins toutes les autres lumières, fais ma danse d’un seul voile, m’installe confortablement sur le pageot, prends la pose dans le cercle de lumière et Didier vient admirer l’œuvre de près.
— Quelle quantité il a mis !
— Tu trouves plus que la semaine dernière ?
— Oui ! Il t’a pénétrée ?
— C’est pour toi ça !
— Tu es un ange, une trop bonne épouse.
Est-ce pour vérifier ? Il tente d’introduire son auriculaire dans mon fourreau, à l’entrée totalement resserrée, comme ...
... elle l’est à partir de deux jours sans pénétration. Il le retire vite, aventure un petit coup de langue et remonte pour aller rendre au tableau ses teintes d’origine.
Je sens à ses gémissements quel bonheur il trouve à revivre sa jeunesse. Nous décidons de continuer la nuit ici. Son intensité récompense l’attente.
Soir. Je sors le livre si distrayant, l’ouvre à la page 37. Cette fois, c’est moi qui perds la partie de Bataille. Didier ferme les yeux et pointe son doigt sur : « Écrivez chacun sur une feuille ce que vous pensez que l’autre a fait lors de votre plus récente séparation et échangez. » Chacun s’exécute.
J’ai écrit : « Tu avais beaucoup de travail et il t’a fallu quelques coups de main pour m’attendre. »
Didier est plus romantique : « Tu as dû gérer l’entreprise, la maison, les enfants, les employées et les jeunes militants. »
Nous passons au lit, mutuellement assurés de pouvoir rattraper le temps perdu.
Durant nos ébats, je repense à l’aveu de Françoise qui se serait déjà permis de tester mon mari. Je l’ai vue ce matin se baisser et ai constaté la sensualité de l’arrondissement de son giron lorsqu’elle le plie, de quoi faire lever n’importe quel engin. Bien que sans ampleur particulière, le décolleté de Catherine ne laisse pas indifférent.
Pendant une pause, je demande à mon époux s’il apprécierait plus mon corps avec quelques gibbosités. Il a la finesse, ou la franchise, de me répondre que ces détails importent peu, que c’est mon bonheur qui ...