1. Que vous faut-il de plus pour être heureux ?


    Datte: 23/02/2018, Catégories: fh, extracon, inconnu, vengeance, Oral pénétratio, portrait, amourcach, bourge, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... un état qui dure, qui dure.
    
    Arnaud a eu peur, mais en sentant son érection revenir, sa peur a disparu. Céline l’a attiré sur le lit et s’est offerte à lui. C’est naturellement qu’il a pris possession de son corps, comme si la demande de Céline était évidente. Il ressent une émotion indicible à la baiser ainsi tendrement. Leurs corps ne font qu’un. Il sent qu’il pourrait tenir ainsi longtemps. Il sent qu’elle aime ça au son de ses ahanements. Des « oui » murmurés, des « viens » susurrés, des souffles profonds, des mots doux dans l’oreille. Et puis ses frissons, sa chaleur, son sexe qui palpite. Il est bien, Arnaud, bien sur cette femme, bien dans cette femme. Lui aussi veut garder les yeux ouverts, se délecter de la beauté de cette femme qui s’offre à lui, lui donner ce dont elle a besoin, la faire jouir, lentement, longtemps. Il sait que bientôt ce sera fini, qu’elle repartira, alors il veut qu’elle se souvienne de lui, de ce qu’ils vivent maintenant.
    
    Elle est proche de l’extase, d’une extase qu’elle sait d’avance violente. Elle sait que ce sera d’autant plus violent que l’étreinte est douce et longue. Mais elle est prise de panique ; une angoisse monte dans ses tripes et vient la percuter. Arnaud s’arrête, perdu par cette réaction imprévue. Céline s’est pris la tête dans les mains et pleure. Arnaud se relève, ne sait pas quoi faire, ne sait pas quoi dire, alors il ne fait rien et se tait. Dès qu’il s’est reculé, Cécile se tourne sur le ventre et continue de pleurer, ...
    ... prise de sanglots et de spasmes. Il s’assied à côté d’elle et lui caresse les cheveux. « Chutttt » lui dit-il, sans savoir pourquoi elle pleure, sans savoir comment faire pour qu’elle cesse. Et il la regarde. Son dos, ses hanches, ses fesses, ses cuisses. Ce n’est pas une vision obscène ; c’est une vision magnifique. Céline a la peau lisse, douce, blanche. Ce n’est pas un corps de gamine mais le corps d’une femme, et le corps d’une femme ça raconte une histoire, ça raconte sa vie.
    
    Céline pleure en pensant à ce qu’elle vient de faire. Arnaud ne le sait pas mais elle a joui longuement et en silence. Elle ne se souvient pas avoir joui aussi longtemps déjà. Leurs sexes semblent faits l’un pour l’autre. Elle a presque regretté qu’il ne jouisse pas en même temps qu’elle pour le sentir se répandre encore en elle, mais la crise de panique est arrivée. Une honte massive, délétère, qui tout en rompant le charme lui a donné conscience du plaisir immense qu’elle éprouvait. Mais Arnaud n’y est pour rien. Au contraire. Il reste là à la cajoler, sans la brusquer. Il est doux et gentil. Et elle a honte de se l’avouer, mais elle a encore envie de lui.
    
    Elle se tourne un peu pour saisir sa main, qu’elle guide au-dessus de ses épaules pour lui faire comprendre qu’elle veut qu’il s’allonge sur elle. Elle ne veut pas parler, et de toute façon elle n’en a pas besoin. Il a compris. Arnaud s’allonge sur elle, son sexe entre leurs corps. Il ne sait pas si elle veut juste un peu de tendresse et de ...
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