Première séance
Datte: 17/03/2019,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
sm,
init,
initiatiq,
Auteur: Umi, Source: Revebebe
... aimé lui appartenir dans la jouissance, mais elle lui appartenait pareillement dans la souffrance, à présent.
Il lui fit exécuter un tour sur elle-même, la faisant virevolter, arrimé solidement au collier. Il plongea ses doigts dans sa bouche, les introduisant jusqu’à la gorge, les tournant en tout sens. Rien ne lui était épargné, elle était sa chose, ne pouvant esquisser un geste de défense sous peine d’encourir des sévices plus violents encore. Il pénétra son anus avec deux doigts qu’elle venait d’enduire de salive.
— Tu t’es déjà fait enculée ?
Elle gémit mais ne répondit pas.
— Parle !
— Oui, maître.
— Baisse les yeux, petite salope. Demande-moi pardon pour ne pas m’avoir gardé un anus vierge.
— Pardon maître, je ne savais pas, pleurnicha-t-elle.
— Et tu as aimé ça, chienne ? Parle !
— Oui, maître.
— Tu t’es fait prendre souvent ?
— Deux fois, maître.
— Et ça, tu aimes ?
Il lâcha le collier et enfouit trois doigts dans son sexe, la violant doublement. Elle crachotait, emplissant d’air ses poumons. Chavirant, molestée, elle n’avait plus de repère, d’attache, ballottée dans l’ouragan du maître qui exerçait sa rage, la dominant sans limite.
— Je t’autorise à me dire que tu aimes. Je veux te l’entendre gueuler ! Ne t’arrête pas.
Un flot de mots qu’elle ne contrôlait plus s’extirpa de sa bouche, entrecoupé de hurlements. Oui, elle aimait ça, elle ne voulait pas qu’il s’arrête, il lui faisait mal et elle était sa chienne, sa pute, sa salope, son ...
... esclave. Qu’il fasse d’elle ce qu’il voulait.
Elle ne savait plus qu’elle parlait, elle ne savait plus qu’elle avait mal, elle était en transe, possédée, le cerveau disjoncté.
Il se calma enfin. Soudainement, il cessa de l’embrocher et elle chuta, recroquevillée, à l’instant où il se retira d’elle.
Lorsqu’elle entendit le bruit d’une fermeture éclair, elle leva un visage pathétique, ruiné de larmes. Elle reprenait espoir. Peut-être l’autoriserait-il à lui être agréable, après l’avoir sévèrement disciplinée ? Elle pourrait se faire pardonner en se montrant bonne lécheuse et suceuse. Sans doute, son aspect lamentable l’exciterait-il, preuve qu’il régnait sans partage sur sa soumise ?
Elle s’apprêtait à s’agenouiller quand elle reçut un jet d’urine en pleine face. Le coup ultime, la dernière banderille plantée dans la dépouille agonisante du taureau. Il pissait sur elle, criblant son corps de cette chaleur acide, n’épargnant nulle superficie.
— Va te rhabiller, il y a une douche derrière le paravent.
Il lui signifiait son congé. Pourtant, au-delà de l’effondrement de toute sa personne, elle ressentait encore le besoin vital de partager le plaisir de son maître. Elle se sentait incomplète, inachevée, indigne de sa nouvelle condition. Elle se hissa sur les genoux et tendit les mains vers lui.
— Maître, je vous en supplie. Laissez-moi vous…
— Il suffit. Disparais.
Il lui tourna brusquement le dos. Elle lui savait gré de ne pas contempler la maladresse de son ...