Plagisme - Histoires de Sexe

Plagisme

... l’étonne, avant de répondre :

— Et si je te dis non ?
— Tu es libre… mais j’aimerais beaucoup que tu le mettes… et puis, ici, nous sommes assez loin des autres, sans compter qu’ils sont tous nus.

Claudine jette un rapide coup d’œil aux alentours, puis lâche :

— Nan, t’en as qui sont quand même habillés… là, à droite, pas loin du parasol vert…
— C’est vrai, mais tu remarqueras que toutes les femmes sont seins à l’air.
— Je ne suis pas comme toutes les autres femmes…

Je pose le string dans ses mains, puis je m’assieds sur ma serviette, attendant la suite. Elle me lance à nouveau un regard noir :

— T’es chiant !

Mais elle ôte quand même son maillot de bain pour enfiler le string blanc à motifs noirs. Peu après, elle est assise presque nue à mes côtés, ses beaux seins à l’air libre. J’admire ses courbes de femme mûre. Il n’y a pas à dire, ça lui va très bien ; je regrette qu’elle ait mis tant de temps pour accepter de le mettre. Me tournant vers elle, admiratif, je lui dis :

— Tu sais que tu es magnifique ?
— Tu parles ! Du moment que je suis à moitié à poil, tout te convient !
— Je reconnais que j’adore t’admirer avec le moins de vêtements possible, mais quand je te dis que tu es magnifique, c’est parce que tu es réellement ma-gni-fique !

Elle me regarde d’un drôle d’air puis finit par murmurer un bref merci. Ce qui est déjà une grande victoire pour moi. Pour éviter que nous nous enlisions, je propose :

— Et si nous allions nous baigner ?
— ...

... Bof…
— Ou marcher les pieds dans l’eau en bord de mer ?
— Tu veux m’exhiber, c’est ça ?
— Nous sommes à la mer, autant mettre au moins les pieds dans l’eau !

Elle jette un coup d’œil vers la mer :

— Je ne suis pas à l’aise, j’ai les nichons à l’air… les fesses aussi…
— Je te signale que toutes les femmes de la plage ont aussi les nichons à l’air. Il y en a même certaines qui sont toutes nues. Alors, pas de problème…
— C’est pas toi qui a les nichons à l’air !
— Si, si ! Regarde-moi : j’ai aussi les tétons à l’air !

Elle ne peut s’empêcher de rire :

— Que t’es con !

Mais cette boutade idiote la décide. Sans nous presser, nous nous dirigeons vers la mer, elle, ses beaux seins à l’air ; ils oscillent à chacun de ses pas, c’est très sexy, vraiment très sexy ! Du coin de l’œil, je peux aussi contempler d’autres femmes qui marchent ou qui courent, la poitrine ballotante. Il n’y a pas à dire, je devrais venir plus souvent sur une plage naturiste. Mais par précaution, je regarde plutôt devant moi afin d’éviter d’éveiller les soupçons de ma femme. Elle est dans de bonnes dispositions ; il ne s’agirait pas que ça s’arrête. Néanmoins, les lunettes de soleil, c’est pratique pour regarder en biais !

Soudain, face à nous, un homme sort de la mer. Il est plutôt bien membré, c’est indéniable, et je vois bien que ma femme ne regarde pas que sa figure, mais nettement plus bas. Elle s’offre même le luxe de se retourner sur lui quand il nous dépasse. Elle murmure même quelque ...