1. De dos


    Datte: 16/03/2019, Catégories: fh, laid(e)s, soubrette, fsodo, Auteur: John, Source: Revebebe

    ... revins pas.
    
    Sans prononcer un mot, le cœur battant à toute allure, je présentai mon gland à l’entrée de son cul. Je dus à peine forcer pour qu’il s’ouvre, comme entraîné à l’exercice. Elle devait souvent prendre dans le cul. Avait-elle l’habitude de remercier en offrant sa rondelle ?
    
    Rapidement, en quelques va-et-vient, j’étais rendu jusqu’à la garde.
    
    — Putain, quel manche ! me dit-elle, surprise. Allez, fais ce que tu as à faire. J’ai appelé mon mari, il va m’amener des vêtements ; il sera là d’ici une demi-heure.
    
    Sans rien dire, je la besognai en ne regardant que son cul. Je ne regardais pas ses mains, ni rien. Son cul était tellement frêle que j’avais l’impression de la fendre, mais son cul avait l’air d’en avoir vu d’autres. Comme cette occasion n’allait pas se reproduire dix fois, je profitais de son cul, admirant ma queue entrer et sortir.
    
    Elle ne gémissait quasiment pas mais m’insultait :
    
    — Gros pervers, tu avais envie de me farcir, hein ? Allez, vas-y, crache ton jus !
    
    Pressé par le temps, excité par la situation et ...
    ... ses paroles, je me retirai, enlevai la capote et déchargeai un flot de sperme sur son cul. J’étais tellement excité que j’avoue avoir rarement balancé autant de foutre. Son trou de balle était moulé à ma bite et semblait avoir du mal à se refermer. Ma semence dégoulinait sur ses hanches, ses fesses. Son œillet restant bien ouvert, un filet de sperme s’écoula à l’intérieur. Elle prit la serviette et essuya mon foutre.
    
    Une dizaine de minutes après, son mari arriva avec des vêtements secs. Ils me remercièrent pour mon geste. À peine étaient-ils partis qu’excité, je retournai m’astiquer le manche sur mon canapé pour me vider une fois de plus.
    
    Dès ce jour, la femme de ménage dont je ne connais toujours pas le prénom retourna à ses ménages le jeudi matin dans ma résidence. Lorsque nous nous croisons, je la salue mais elle est toujours aussi distante. J’ai tenté une fois de l’inviter prendre un café chez moi (je dois avouer que j’avais très envie de son cul) ; elle refusa.
    
    Nous en resterons donc là, comme si tout cela n’était jamais arrivé.
    
    John 
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