De dos
Datte: 16/03/2019,
Catégories:
fh,
laid(e)s,
soubrette,
fsodo,
Auteur: John, Source: Revebebe
... s’abattaient sur moi et je laissai mes courses dans le coffre, courant vers l’entrée. La femme de ménage était là, trempée, rincée de la tête aux pieds. Elle m’expliqua que la porte s’était refermée et qu’elle était restée dehors, piégée sous la pluie. J’ouvris alors la porte d’entrée et l’invitai à venir se réchauffer chez moi, car elle était vraiment gelée. À ce moment-là, j’étais sincèrement loin de penser à son cul, à mon fantasme de le lui prendre. Je faisais ce que n’importe qui aurait fait ; qui aurait laissé cette femme dehors ?
En montant l’escalier qui mène à mon appartement, je me rendis compte que lui proposer de « venir se réchauffer chez moi » c’était bien beau, mais si elle buvait un chocolat chaud en gardant ses vêtements trempés, ça ne servirait à rien. Arrivés chez moi, je lui proposai de mettre ses vêtements au sèche-linge et de prendre une douche pour se réchauffer. Elle accepta timidement. Elle ne savait pas trop où se mettre, était très mal à l’aise, parlant peu, comme apeurée, asociale, sauvage.
Je lui confiai une serviette et lui indiquai la salle de bain. Elle en sortit un quart d’heure plus tard avec la serviette nouée au-dessus d’une poitrine menue. Je lui servis un café. Dans la salle de bain, je retrouvai ses vêtements en boule que je mis au sèche-linge. Je trouvai un string ficelle laissé volontairement dans le jean, certainement pour ne pas que je le trouve.
Lorsque je rentrai dans la cuisine, je la trouvai à la fenêtre, qu’elle avait ...
... entrouverte. Elle avait une clope dans une main, son téléphone dans l’autre, certainement en train de textoter à quelqu’un sa mauvaise aventure. Plongée dans son texto, elle ne m’entendit pas arriver et je pus l’observer accoudée au rebord de la fenêtre, le tissu de la serviette dessinant un V entre ses deux fesses. Cette femme n’était décidément pour moi qu’un cul !
Je dus faire un peu de bruit pour témoigner de ma présence.
Elle se tourna et me dit timidement :
— Vraiment merci ; je ne sais pas ce qu’il s’est passé avec cette porte…
— Oh, ne me remerciez pas ! dis-je en me servant à mon tour un café.
Lorsque, pour poursuivre la conversation, je me tournai vers elle, elle avait remonté la serviette dans le creux de ses reins, me présentant son cul.
— Allez, vas-y, tu en meurs d’envie ; je le sais bien, depuis le temps que tu le mates, mon cul !
— Mais euh… je n’ai pas fait euh… ça… pour euh…
— Allez, vas-y !
Elle parlait comme quelqu’un qui payait sa dette, ce qui m’excitait.
— Euh… je reviens.
Dans la salle de bain, je pris une capote et je revins dans la cuisine où je la trouvai dans la même position. Elle ne se tourna pas. Elle alluma une cigarette.
La situation était complètement surréaliste, mais elle le devint encore plus lorsque, approchant d’elle ma queue raide protégée de latex, je la vis laisser sa clope à la commissure sa bouche pour, de ses deux mains, écarter ses fesses.
Elle me dévoila ainsi une rondelle fripée, brunâtre. Je n’en ...