Ma Tante
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Auteur: Charlievers8, Source: xHamster
... épaules, Suzanne prit doucement ma main pour la faire glisser vers sa poitrine. Oh ! Toucher un sein pour la première fois ! Ressentir le moelleux du galbe, la lourdeur du mamelon. Toucher l'aréole granuleuse, la contourner pour éviter le téton, revenir parce qu'il attire tellement ! Glisser ma main sous son aisselle qu'elle libérait en levant un peu le bras, trouver déjà une touffe blonde à savonner, descendre à l'intérieur jusqu'au creux du coude. Reprendre du savon pour être encore plus doux, depuis l'avant-bras descendre jusqu'à la main qui se faisait molle, inerte, disponible. Glisser mes doigts entre ceux de Suzanne, les uns après les autres, remonter lentement pour retrouver ses mamelles envoûtantes.
Quand je passai sur l'autre épaule, Alain laissa glisser le gant là où je venais de savonner. Nous sommes côte à côte, devant Suzanne devenue muette, les yeux mi-clos, j'avais l'impression qu'elle savourait quelque chose qu'elle attendait de longue date. Nous étions côte à côte, avec Alain, nous bandions tels des jeunes cerfs au moment du brame. Nous bandions, mais tellement affairés à plaire à Suzanne, nous n'en faisions aucun cas. Nous avions oublié nos bites. Nous désirions cette femme, bien sûr, mais, sans nous consulter, nous avions le même désir de la déguster.
Nos deux mains se retrouvèrent sur la poitrine de Suzanne. Alain, le premier, s'attarda sur le téton qui s'offrait à lui, il l'effleura avec le gant, la réaction de Suzanne l'encouragea à ...
... recommencer ce geste, dû pour la première fois à un simple hasard ou à une intuition divine. Tantine émit un bruit de gorge proche du feulement du matou de la voisine apercevant un rival. Je ne pouvais détacher mon regard de ce sein, objet de mon massage, j'étais tellement tenté d'y déposer un baiser. Suzanne anticipa mon attente en se relevant à hauteur de mes lèvres, j'engloutis aussitôt la tétine. Quel délice !
Je tétais. Alain titillait. Suzanne allongea ses mains vers nos bites tendues, les empoigna fermement. Ce manque de douceur en guise de préliminaire visait juste à nous inviter à la méfiance, c'est elle qui mènerait la barque, elle seulement. Heureusement pour nous deux, en étirant le fourreau jusqu'à toucher nos couilles, elle attendrit son geste avec délicatesse.
La scène est assez grotesque : deux ados affairés aux mamelles d'une tante laquelle faisait mine de les traire comme des chèvres. Mais nous n'y pensions pas, bien sûr.
— Enfin de vraies bites, j'ai eu peur tout à l'heure ! Vous êtes encore mieux montés que je l'imaginais, je constate que la nature a bien fait le travail. Vous avez les outils, il faut juste apprendre la pratique ! dit-elle en rigolant.
La coquine ne se contenta pas de nous branler de façon simple, elle nous chopa aussi les couilles, tira un peu dessus en passant, parfois, son index s'attarda jusqu'au bord du trou de balle. Cette caresse provoqua une tension infernale, me mit au bord de l'explosion.
Suzanne se leva soudain dans la ...