Ma Tante
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Auteur: Charlievers8, Source: xHamster
... deux cuisses solides, masquant un sexe qu'on ne pouvait encore deviner. Ma queue en durcissait déjà, mon ventre bouillonnant me faisait presque souffrir. Je jetais un coup d'œil vers Alain déjà tout rouge, et ce n'était pas dû à un coup de soleil.
— Alors les garçons, on vient se rincer l'œil ? nous dit Suzanne qu'on croyait endormie.
— Ben non, on a juste soif !
— À vous voir, je sais bien ce qui vous trotte dans la tête et je crois de toute façon que le moment est venu d'apporter une réponse à toutes vos questions. Il faut bien que quelqu'un s'y colle, il vous faut une bonne institutrice et si vous êtes d'accord, ce sera moi. Qu'en pensez-vous ?
— Ben, nous, on ne sait pas trop. Ce qu'on sait, c'est que maintenant, quand on te voit toute nue, c'est plus comme avant, ça nous embête. Euh... Ça nous attire aussi, c'est plus comme avant.
— Je vais me faire couler un bain, vous allez venir faire ma toilette, ça sera un début, après on verra bien.
Aussitôt, nous vîmes Suzanne gambader le cul à l'air vers la maison, nous restions là, deux idiots à nous demander si nous devions nous enfuir ou prendre le risque d'attendre.
— Alain, Frédéric, j'ai besoin de vous. Dépêchez-vous ! ordonna Suzanne depuis l'étage.
Pas très rassurés, nous empruntâmes l'escalier montant à sa chambre, Suzanne nous accueillit depuis sa baignoire avec un tendre sourire jusque-là complètement inconnu.
— Je sais que je vous mets mal à l'aise, mais ça ne va pas durer. Nous allons ...
... vivre ensemble un moment que vous n'oublierez jamais. Je prends la responsabilité de vous initier à l'amour pour deux raisons : parce que c'est un moment précieux qui ne doit pas être gâché, aussi parce que j'ai une envie folle de me taper deux petites bites toutes neuves. Faites-moi voir ça et vite fait !
Cette mise en route un peu brutale nous laissa cois. Nos shorts baissés ne laissèrent pas entrevoir grand-chose de nos grands projets, nos queues étaient ratatinées au point de désoler Suzanne.
— Non, je rigole, c'est tout ce que vous m'offrez aujourd'hui ? Où sont les belles bites que j'ai aperçues la semaine dernière quand vous vous branliez derrière les noisetiers ? Il va falloir ravigoter tout ça ! Alain, prends le gant de toilette, commence à me laver, dit Susanne en se mettant à genoux dans la baignoire. Fred, savonne-moi un peu avant qu'il ne me frotte.
Je pris le gros savon sur la tablette, le mouillai, approchai timidement ma main des épaules de Suzanne. De l'autre main, j'écartai les mèches blondes. J'allais et venais maladroitement, sans conviction.
— Non attends, ce n'est pas tout à fait ça. Tu savonnes ta main, ensuite, tu la passes sur mon corps, ce sera plus doux, me montra-t-elle.
Là, maintenant, je la touchai. Je sentais la douceur du grain de sa peau, la douce chaleur qu'elle exhalait sous l'eau un peu fraîche, mes doigts glissaient, je sentais entrer en moi une nourriture nouvelle, toute de douceur. Je m'attardais un peu trop longtemps sur les ...