1. Juste une graine


    Datte: 22/02/2018, Catégories: f, ff, jeunes, fépilée, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Claire Obscure, Source: Revebebe

    ... manteau, à présent ouvert presque jusqu’au nombril. J’ai le sexe à l’air, en plein lieu public ! Mais sans aucun risque, puisqu’il me suffirait d’une fraction de seconde pour rabattre les pans de mon manteau et me lever. Enfin, je pense que cela suffirait.
    
    J’ai une envie folle de me caresser, là maintenant, tout de suite. Non, non, je n’ai pas le droit, j’ai juste, allez, combien ? 6+4 : 10 points.
    
    J’ai tellement envie… Je coule sur la doublure de mon manteau. Je me promets que si j’arrive à 20 points demain, je me fais jouir dans ce bus.
    
    Mon arrêt est pour bientôt, et des passagers pourraient arriver. À regret, je referme mon manteau, mais pas complètement.
    
    Quelques minutes passent, puis je descends du bus mais décide de laisser le dernier bouton défait. La marche est un peu haute, et si quelqu’un se trouve dans le bon axe, il doit bien se régaler.
    
    Le trajet jusqu’à mon appartement ne dure que quelques minutes, mais je contrôle sans cesse la taille de mes pas. Je vérifie aussi les regards des passants. En fait, il n’y a pas plus de regards sur mes jambes que lorsque je me balade en jupe l’été. Sont-ils plus étonnés ? Je ne sais pas et, finalement, ces quelques coups d’œil furtifs contribuent à augmenter mon excitation et ma joie.
    
    Me voilà déjà devant mon immeuble ; je prends mon courrier et monte quatre à quatre les escaliers vers ce que j’ai envie d’appeler maintenant mon terrain de jeux.
    
    À mi-palier, je déboutonne complètement mon manteau. J’ai la ...
    ... gorge serrée. Pas de peur, mais d’excitation trop fortement contenue. J’entrouvre la porte palière ; les lumières sont éteintes, je suis donc seule. Hop, un petit entrechat, me voici à l’intersection des trois couloirs. Un pas de côté, je retire mon manteau. Un pas de plus, j’enlève mon pull et mon tee-shirt. Je cours jusqu’à ma porte et dépose toutes mes affaires.
    
    Je retourne à l’intersection sur la pointe des pieds. Petite folie ? Ah ! Non, du bruit dans l’escalier : quelqu’un monte. S’arrêtera-t-il à mon étage ? Je recule vers la sécurité de mon appartement. Mince, la personne habite bien au 1er étage. Je panique un peu ; où sont mes clefs ?
    
    Je farfouille dans mon sac ; j’entends le voisin qui siffle. Suis-je bien invisible dans mon coin ? Oui, oui. Je me rassure, mais j’ai une boule au ventre, un pressentiment. Mes clefs ! J’ouvre, pousse du pied mes affaires, claque la porte derrière moi. Je regarde par le judas. Ce n’était pas un voisin, mais un électricien ou que sais-je. Il est dans ma partie de couloir à présent. Il ouvre un panneau d’accès aux câbles du téléphone, toujours en sifflant. C’était moins une !
    
    Je range mes affaires, frustrée. Pour me consoler, j’essaie de penser à ma soirée. Tout d’abord, je dois aller à la boutique de lingerie de Madame Delvoix : elle m’a demandé de passer la voir à la fermeture. J’espère que c’est pour me proposer de retravailler avec elle cet été. Je suis plus hésitante s’il s’agit de travailler occasionnellement pour elle, le ...
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