1. Juste une graine


    Datte: 22/02/2018, Catégories: f, ff, jeunes, fépilée, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Claire Obscure, Source: Revebebe

    ... souris en repensant au surnom que Patrick m’avait donné : Pomme-Pomme Girl.
    
    Il aimait croquer les pommes de mes seins, et mes fesses toutes pommelées. Désolée, mon gars : c’est plus pour toi, tout ça !
    
    Je reste encore quelques instants devant le miroir, toujours de profil. J’observe mes courbes, que j’estime parfaites. Mince, c’est moi qui juge ! Et je m’accorde un 10 ! J’aime regarder mes cuisses, remonter les yeux vers mon mont de Vénus que je devine si bombé sous mes poils bruns. Je m’amuse à tendre le torse en arrière pour faire ressortir mes seins et mon sexe.
    
    Il est temps de passer à la troisième étape. L’instant de vérité.
    
    Je visualise mon futur parcours : le palier du premier étage comporte cinq appartements, un ascenseur, une porte vers les escaliers. Le palier a vaguement la forme d’un Y. Tiens, comme le sexe stylisé d’une femme, pensé-je avec un sourire coquin. Quatre appartements sont situés dans le « bas » du Y. L’ascenseur et l’accès aux escaliers sont situés dans la branche de gauche. Mon appartement occupe le bout de la branche de droite.
    
    J’ouvre la porte ; le détecteur de présence allume automatiquement tout le couloir. Rien, ni personne ne peut me voir pour l’instant ; même quelqu’un qui irait ou viendrait des ascenseurs ne pourrait me voir.
    
    J’avance d’un pas, puis de deux. Je suis dans le couloir. Nue. Ça me fait du bien partout de me le répéter.
    
    Mon objectif : atteindre la fourche et vite faire demi-tour. Il est 2 h 30. Il n’y a aucun ...
    ... risque, pas de bruit.
    
    J’ai la chair de poule ; ce n’est pas une question de température.
    
    J’avance encore, plus que 2 ou 3 mètres à parcourir. Si quelqu’un ouvrait une porte, j’aurais encore le temps de reculer à l’abri des regards.
    
    Le souffle court, je m’arrête. Je dois me donner du courage. Une main sur un sein, l’autre couvrant tendrement mon pubis. Les deux commencent à me caresser. Je ne les contrôle plus. C’est bon, si bon, si délicieux…
    
    Allez, quelques pas de plus ; je suis à l’intersection. Le risque est maximal.
    
    Aahhh, mon doigt en moi s’agite. J’ai besoin de jouir. J’en veux plus.
    
    Je cours, silencieuse, sur la pointe des pieds. Mais, volontairement ou involontairement, je ne suis pas dans « ma branche » ; non, j’ai couru jusqu’à la porte des escaliers. Je me mords les lèvres. Mon cerveau s’agite, et si quelqu’un arrive ? S’il vient des escaliers, je retourne dans mon appart’. S’il vient des appartements ? Je rentre dans la cage d’escalier et je grimpe quatre à quatre vers le deuxième étage. Oui, bonne idée.
    
    Je m’appuie contre le mur ; mon cœur bat la chamade. Mes yeux se baissent sur mes seins : je n’ai jamais vu mes tétons aussi durs. Mon ventre plat révèle ma chatte. Ma main y retrouve tout naturellement son chemin. De la paume, je caresse mon clitoris. Un doigt, puis deux s’enfoncent en moi. Je suis sourde et aveugle au monde qui m’entoure. Le plaisir monte en moi par vagues de plus en plus fortes. Je gémis alors que je pince mon clitoris. Je ...
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