Juste une graine
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
f,
ff,
jeunes,
fépilée,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Claire Obscure, Source: Revebebe
... frustration. Faisons les comptes : chaussures, jupe, soutif, chemisier, manteau. Ça fait 6 points. Il m’en manque 5 pour arriver à 20. Je ne peux guère me passer des chaussures : je pourrais me blesser et choper vraiment froid. Mais raisonnablement (ou pas), je ne peux retourner chez moi en portant juste mes chaussures.
Bien obligée de prendre mon manteau. Mon sac parvient tout juste à contenir le chemisier et la jupe bien pliés. Le soutif ne tiendra pas en plus. Je le glisse dans une poche du manteau. Je suis prête !
Après avoir remonté d’un mètre le rideau de fer, je me glisse à l’extérieur. Je pense que mes fesses ont pris l’air quelques secondes. Le regard courroucé d’une vieille dame qui passait au mauvais moment au bon endroit me le confirme bien vite ! Quand elle me tourne le dos pour poursuivre sa route, je lui tire la langue. Puéril ? Oui ! J’espère toutefois que cela n’aura pas de conséquences sur la réputation du magasin.
Arrivée à quelques dizaines de mètres de mon immeuble, je m’arrête un instant. Bon, voyons : la petite balade nue sous le manteau, en définitive, ça vaut pas plus de 2 points ; j’avais presque fait l’équivalent en rentrant de la fac. Il me manque donc 3 points. Et pas question de passer une journée sans me faire jouir. L’orgasme, j’y ai droit, et tous les jours. Alors, cocotte, faut se remuer maintenant !
La rue est déserte derrière et devant moi. La plupart des volets sont fermés… Je défais tous les boutons du manteau. Mais je croise ...
... les bras devant ma poitrine si bien qu’il ne s’ouvre pas. Je fais quelques pas. En fait, si, il s’ouvre assez largement, un peu au-dessus du pubis, en-dessous de la ceinture. Je dénoue la ceinture et j’essaye avec les mains dans les poches. Amusant ; je peux ainsi contrôler le degré d’ouverture. Enfin, relativement. Je peux sans problème cacher mon corps du haut des cuisses jusqu’au niveau des seins. Mais le manteau s’entrebâille alors et laisse deviner leur galbe, un peu comme un décolleté plongeant. Ça me va ! Et ce qui me va encore plus, c’est lorsque je tiens mes mains, toujours dans les poches, le long du corps : tout mon sexe, mon ventre et mes seins jusqu’à la limite des aréoles sont alors visibles. C’est dans cette position que je parviens jusqu’au hall de mon immeuble. Là, je renoue la ceinture, bien obligée pour attraper mes clefs qui ont glissé au fond du sac sous la jupe et le chemisier, maintenant en vrac et qui dépassent.
J’entre dans le hall, mais la lumière du couloir s’allume aussi ; il y a donc quelqu’un qui arrive. Vite, je me tourne vers les boîtes aux lettres et j’essaie d’une main de fermer le plus possible mon manteau, tout en faisant semblant de chercher le courrier dans ma boîte.
Un voisin, la cinquantaine, sort avec ses poubelles. Il a les deux mains prises. Mauvais réflexe de fille bien élevée, je me précipite vers la porte pour la lui ouvrir. Heureusement, faisant cela, je lui tourne le dos ; mais qu’a-t-il pu voir dans le reflet de la vitre ...