1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1115)


    Datte: 12/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... ma vulve, mes seins, tout s’offrait naturellement à la vue de cet homme à la carrure imposante. Monsieur le Marquis d’Evans ajouta :
    
    - Mon ami, sachez également, que ma pouliche est de sang noble et Comtesse de son état.
    
    - Ah ! répondit le Seigneur des lieux, une esclave Comtesse ! C’est rare !…
    
    Habitué à jauger d’un seul coup d’œil de la qualité de l’une de ses bêtes, Il me dévisageait à la façon d’un maquignon (encore un), me faisant comprendre de son doigt levé qui tournait sur lui-même d’en faire de même. J’obéissais, me laissant dévorer des yeux, tandis que Maître lui vantait mes mérites d’esclave. Les apéritifs ayant été apportés, les deux hommes échangeaient entre eux sur des questions importantes portant sur les troupeaux, la saison en cours, les problèmes administratifs, tandis que je restais debout aux côtés du Châtelain. De temps en temps, tout en poursuivant ses échanges, Maître passait ostensiblement sa main sous ma jupe, et me caressait la croupe sans vergogne. Parfois, il passait ses doigts dans ma fente culière, et titillait même ma rosette sous les yeux lubriques du maître des lieux. A un moment donné, Maître mit sa main entre mes cuisses et selon la pression qu’il exerçait sur elles, je compris qu’Il souhaitait que je les écarte, ce que je fis. Alors que la discussion se poursuivait, que le personnel, tant masculin que féminin passait et repassait autour de nous, Maître titillait mon clitoris, introduisant même ses doigts dans ma vulve, en en ...
    ... massant l’intérieur sans retenue. Mes yeux clignaient, se fermaient, se rouvraient, je commençais de trembler toujours aussi excitée mais pas assouvie, je me laissais faire par les doigts habiles et baladeurs du Maître, sans rien pouvoir montrer.
    
    De ma vulve commençaient d’arriver des fils de cyprine, difficiles à masquer étant donné la taille de la jupette. La glaire vaginale s’écoulait en fils entre mes cuisses exposées à la vue, fils devenant plus denses à mesure que les doigts du Noble amplifiaient leurs mouvements savants. Maître massait mon point G, et comme tout le monde le sait, un point G travaillé est carrément irrésistible pour une femelle, avec, en ce qui me concerne, une impossibilité absolue de bouger, obligée de ce fait, de subir… Ma respiration s’amplifiait de seconde en seconde, et le Manadier s’en rendit compte au point de dire au Maître :
    
    - Votre femelle est en rut, je crois, mon ami !
    
    - Ma femelle, comme vous le dites si justement est un Pur-Sang femelle qui démarre au quart de tour, comme vous le voyez ! Mais le terme de femelle Pur-Sang est, croyez-moi bien, adapté à elle et en vos murs, vous qui êtes un grand amateur de chevaux, et entouré de ces si formidables bêtes ! …
    
    Nous étions venus, dans cette Manade, Monsieur le Marquis, Walter et moi pour deux jours, invités par le propriétaire des lieux, venue destinée tout à la fois, pour parler affaires entre Maître et son ami, et également, me présenter comme Sa plus belle acquisition. Au fil des ...
«1234...»