1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1115)


    Datte: 12/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
    
    Je vous laisse imaginer l’effet produit sur les manadiers… Plus loin, sur la terrasse du mas, imposante bâtisse de pierres, le Maître des lieux, nous attendait. Vêtu comme ses hommes mais avec un gilet ouvert, signe distinctif du patron, son chapeau sur la tête, sa corpulence imposante d’homme habitué à être à cheval, par tous les temps, il avait, cependant ce petit plus, qui montrait bien, non seulement qu’il était le patron, le propriétaire des lieux, mais sa stature et surtout son regard en imposait fortement. Je ne sais pas pourquoi ni comment Maître et lui avaient noués des liens profonds, mais je savais que Monsieur le Marquis d’Evans, de par ses fonctions d’hommes d’affaires, entretenaient des relations très fortes avec beaucoup de monde, aussi différent que ce patron de manade par exemple, ainsi que d’autres PDG de grosses sociétés d’import-export de France voire du monde. Maître avait ainsi des « amis » aux U.S.A., au Brésil, en Chine, à Madagascar, en Europe et Asie, dont le Japon, pays qu’Il admirait depuis plusieurs années. Au Tibet, il avait également des amis très chers. Ses activités professionnelles ne s’arrêtaient pas là, Il avait des intérêts dans le domaine de la Viticulture, dans un élevage de crevettes à Madagascar, dans des sociétés au Brésil, et un de ses bureaux important se trouvait à Miami, en Floride.
    
    Et à la Tour Montparnasse, à Paris, se ...
    ... trouvait un de ses importants bureaux de France. Monsieur le Marquis d’Evans gérait ses affaires de mains de maître. Sa holding supervisait beaucoup de choses, et la société du 12 avenue Daumesnil à Paris, société que j’ai évoquée dans un de mes tous premiers chapitres précédents (lors de ma rencontre avec le DRH), lui appartenait, mais à cette époque je ne le savais pas. Le Châtelain était souvent en déplacement et Il m’avait dit qu’Il souhaitait me confier des tâches auprès de Lui. J’en parlerai dans les prochains chapitres. C’est dans cette mouvance que nous rendions visite à cet ami, manadier en Camargue. Mais, même en visite d’amitié, Maître ne perdait jamais de vue le monde des affaires ce qui me fit comprendre rapidement que derrière tous gestes qu’il faisait, se trouvait souvent une autre raison. Le maître des lieux nous reçut comme des princes. Tapant dans ses mains, le personnel de maison courait ici et là, nous apportant sièges, débarrassant le Noble de son manteau… nous mettant à l’aise…comme si le Roi arrivait en ses terres… Après les embrassades et accolades amicales et fortes bruyantes entre les deux Maîtres, Monsieur le Marquis me présenta en ses termes :
    
    - Cher ami, je vous présente ma dernière trouvaille, une superbe pouliche comme votre œil exercé le voit depuis notre descente de voiture, pouliche que je vous laisse admirer…
    
    Le Noble lâcha la laisse, mais me tendit sa main sur laquelle je posai mes doigts, je fis une révérence si basse, que mes fesses, ...
«1234...»