Cette si merveilleuse femme (1)
Datte: 12/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... cul de l’univers.
C’est la folie qui s’empare alors de nos corps. Elle se dégage, me suce mon pénis avec une frénésie que je ne lui connaissais pas. Nous sommes déchaînés, on en veut encore. Ses mots sont gras, vulgaires. Nous ne faisons plus l’amour, nous baisons comme des porcs. Jamais, je n’avais couché avec une femme aussi impitoyable dans l’amour. Je lui abandonne mon corps. Elle ne cherche pas que son plaisir, c’est le mien qui semble devenir sa priorité. Elle va me tuer, me vider et je ne suis pas contre. Je la veux jour et nuit, autant qu’elle me veut. Nous allons jouir, c’est clair, l’un de l’autre. Son aveu me redonne toute ma vigueur. Je la bouscule, reprends le dessus, passe de son sexe à son anus, à sa bouche, je masse son corps, le pétris, le viole presque. Elle jouit coup sur coup, s’affaiblit. Je n’en peux plus, je jouis sur sa poitrine, son visage, elle s’envole encore. Je tombe sur ce corps que je recommence à lécher de partout.
Nous mettons toutes nos forces dans cette espèce de recherche du plaisir, mais nos corps ne suivent plus. Blottis l’un contre l’autre, nous nous embrassons longuement. Je lui déclare mon amour, l’amour de celui qui ne veut plus être que son amant à tout jamais. Sa bouche me rend muet, sa langue me fouille, se mêle à la mienne. Nos corps enlacés sont épuisés par ces heures de bonheur, parfois si barbares. Le sommeil nous guette, il est là, à peine caché, il nous veut.
Plus la peine de lutter, je nous recouvre de ce duvet, ...
... elle se colle à moi, prenant mon bras comme en guise d’écharpe. Nous voilà plus sages après cette violente tempête de plaisir, d’orgasme. Tu peux nous prendre, le sommeil, nous sommes à toi si tu nous autorises à des rêves qui transgressent les lois de l’amour entre une mère et son fils. Nos lois à nous ? Il n’y en a qu’une, l’inceste.
Le soleil décline à l’horizon, je suis seul dans ce grand lit. Elle est devant moi, debout, belle. Je me dresse sur mes genoux, l’attire contre moi, défais ce que j’avais fait le matin même, son chignon, délivrant plus d’un mètre de chevelure tressée. Cela la rend encore plus désirable. Nos bouches soudées l’une à l’autre, cela nous reprend encore. Elle me pousse, me couche, s’empale sur mon sexe, me laissant ses seins à caresser, embrasser, téter et pétrir. Là encore, le plaisir n’est pas très loin. Sa bouche sur la mienne, nos langues frétillent ensemble dans le bonheur le plus merveilleux, muselant en nous notre nirvana quand il survient presque trop vite. Elle s’agrippe à moi au moment suprême. Elle se laisse tomber sur mon torse. Elle a le souffle court, un visage rayonnant que je n’avais plus vu depuis bien avant le départ de mon père pour là-haut. Ses dents viennent mordiller mon oreille, sa voix douce susurre des mots d’amour.
Ce ne sont plus des mots d’amour maternel, mais des mots que l’on dit à son amant. D’une main, je la lève, l’entraîne dans la salle de bain. Je règle la douche, pas trop chaude, pas trop froide, juste tiède. Je ...