1. Cette si merveilleuse femme (1)


    Datte: 12/03/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... encouragements. J’aime cette femme depuis dix-neuf années et c’est notre première fois à tous les deux, que nous nous aimons.
    
    Je pousse mon sexe au plus profond de ses entrailles. Elle va jouir à nouveau et je ne suis pas encore près de jouir, je m’y refuse encore. Cette fois, ce n’est plus un soupir, une inaudible lamentation de bonheur, c’est un hurlement, une puissante délivrance qui sort, devant moi, de sa bouche grande ouverte. Je la retourne sans m’extraire de ce corps. Je le redresse, ce dos, tout contre ma poitrine, je masse cette poitrine qui me vit, pourtant bien jeune, la téter.
    
    Ses râles sont comme autant d’encouragements. Je fais l’amour à la femme de ma vie, à celle qui me donna cette vie, ma mère. J’en rêvais depuis si longtemps, que pendant que je faisais l’amour avec mes copines, c’est à cette femme que je pensais bien des fois. Combien de fois, je nous ai vus dans ce lit, la sentant vibrer de plaisir! Plus je repense, plus l’envie d’aimer cette femme, cette mère de famille, ma mère, plus j’ai le désire de remplacer celui partit bien trop tôt. Je veux remplacer celui sans qui je ne serais pas là, faisant jouir celle qui me donnait le jour, il y a dix-neuf années.
    
    Je vais jouir, je le clame à cette femme. Déjà, ses mains emprisonnent mes fesses, ne me laissant aucune échappatoire possible. Je vais jouir, je le sens. Elle est sur le point de me rejoindre dans le bonheur d’un orgasme à l’unisson, dans un synchronisme parfait, certainement le plus ...
    ... merveilleux des orgasmes.
    
    Il est là, dans mon pénis et...
    
    BOOM, cela explose de partout, tant chez cette femme que chez moi, nos yeux plongés dans ceux de l’autre, nos bouches soudées en un long, très long baiser, rempli d’amour. Bon sang, je me sens si vide pourtant, il m’a bien semblé que cela avait duré une éternité. Je n’ai même pas vu quand cette mère me retournait, prenant les commandes, sa bouche sur mon sexe. J’en veux encore, du bonheur. De mes mains insistantes, j’attire cette croupe sur mon visage. Là, poussé par je ne sais quoi, je lèche tout, sauvagement, brutalement peut-être. Oh bon sang que c’est bon ! je lèche, je suce, elle jouit encore. Mon majeur est en son anus, très vite rejoint par mon index et l’annulaire qui veut être de la fête. Je taraude ce cul, et il m’encourage par ses ondulations. Je jouis dans la bouche gourmande de cette mère, ma mère. Je me retire, m’enfonce avec précaution, amour et tendresse dans ce cul.
    
    Si je le pouvais, je ne mettrais plus aucune ponctuation, j’écrirais d’un trait tout ce que nous vivons de si merveilleux. Son dos se creuse, sa bouche qui m’encourage encore, ses seins que je pétris, tout un symbole. Il me semble lui avoir fait l’amour depuis ma naissance. Je revois ma vie auprès de cette mère. Je me revois grandir auprès d’elle, subissant ses colères comme ses caresses, ses gifles comme ses baisers.
    
    — JE T’AIME, MAMAN, DEPUIS TOUJOURS !
    
    Que je lui hurle au moment de jouir dans le plus beau, le plus merveilleux ...
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