1. Saletés dans les chiottes du supermarché


    Datte: 11/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Inceste / Tabou Auteur: SYDEKNI, Source: xHamster

    ... les virgules et les cylindres disproportionnés des grands mâles s**tophiles et des femelles reproductrices hyper-velues… Martine Ascona amène le cul du gamin à la verticale de sa bouche. Elle pignole avec passion la bite qui trique, rouge et raide. Elle caresse les couilles. Elle ouvre le trou à merde avec ses doigts et sa langue, en geignant :
    
    « Vas-y, chéri : pousse !... Pousse fort… Donne moi ta merde …
    
    - Hgnn ! Hgnn !... Je chie !... », gémit le jeune homme couillu et membru, dont le sphincter anal dévaginé, rouge vif, élargi de six centimètres, expulse une charge coprologique monumentale.
    
    L’étron naît du rectum à la façon d’un gros serpent obscène. Il est brun clair, énorme, bosselé et s’allonge sur vingt, trente centimètres avant de s’effiler puis de se briser au niveau de l’anus crotté. Une pièce de merde superbe, luisante et glaireuse, ponctuée de fragments mal digérés, zébrée de portions putréfiées à l’odeur intenable… La salope reçoit le paquet sur la figure, elle le hume, le lèche, commence de le dévorer. Elle en taille un gros morceau, qu’elle écrase sur sa langue et ses dents. Elle mâche, elle se délecte, elle exprime le jus ignoble qui la fait bander, elle avale avec des soupirs de sainte en extase. Elle mord à nouveau dans la masse excrémentielle. Elle dévore avec frénésie. Elle a besoin d’ingérer des masses de matières honteuses. Elle est folle de la merde. Elle en consomme chaque jour des volumes étonnants, qu’elle restitue, redigérés, encore plus ...
    ... ignobles et plus puants, à l’intention de son mari et de ses enfants chéris, qui lui en rendent autant.
    
    Elle se gave de substances fécales. Elle ne laisse rien perdre de la ponte obscène du garçonnet qu’elle vidange. Elle jouit comme une démente. Ses lèvres sexuelles monstrueuses, violemment étirées et frottées par le gamin vicieux, dégoulinent de jus comme des torchons qu’on essore. Sa clitopine, d’une dureté incroyable, avec ce gland de chien qui excite mâles et femelles, claque sur son ventre poilu. Elle se met à juter, à la fois comme une vache en chaleur, à grands jets vaginaux qui finissent en rigoles onctueuses sur ses cuisses velues ; et comme un mâle, par la fente de son gros membre actif : elle dégomme, elle décharge, elle arrose.
    
    Le jeune homme crie de bonheur : elle lui tripote la pine et le tète avec passion. Le jeune porc suce le clitoris et la vulve écarlate, qui gicle de plaisir. Il n’y tient plus : il jute à son tour. Il se répand dans la bouche gourmande. Il l’emplit de huit jets successifs d’un sperme gras, tiède et abondant, qu’on s’attendrait à voir expulser par une bite adulte davantage que par celle d’un enfant innocent du cours moyen deuxième année. Les amants de la merde sont heureux. Ils jouissent encore un moment de la puanteur des chiottes publics et de leurs saletés. Ils sont ignobles, glaireux, pisseux, merdeux, le corps constellé d’excréments immondes ; en un mot, magnifiques.
    
    « Oh ! dit Olivier : tu es pleine de caca partout. Et tiens : ...