Saletés dans les chiottes du supermarché
Datte: 11/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
Inceste / Tabou
Auteur: SYDEKNI, Source: xHamster
... poilue comme une guenon… Sa toison sombre, ondulée, prodigieusement épaisse et excitante, enveloppe la quasi-totalité de son corps.
La femelle s’exhibe devant le gosse, les cuisses bien écartées. C’est une fausse maigre au gros cul rebondi. Les bras, des mains jusqu’aux épaules, sont hérissés de poils longs et drus, qui forment aux aisselles deux touffes incroyables, deux chevelures noires, frisées et odorantes. Martine Ascona les donne à flairer au jeune Olivier, qui y enfouit sa figure et renifle en gémissant de désir comme un goret. La salope pétrit ses seins, petits mais couverts eux aussi de duvet noir et doux, et munis de suçoirs de huit centimètres de longueur, érigés sur d’énormes aréoles de dix centimètres de diamètre. La face ventrale de la femelle en chaleur, depuis le sternum jusqu’aux cuisses, est tapissée d’une fourrure monstrueusement fournie, parfumée, ininterrompue. Les poils remontent en crinière le long de l’épine dorsale, obscurcissent les reins et des fesses, puis descendent, toujours aussi exubérants, sur les cuisses, les mollets et les pieds.
« Maintenant, regarde bien mes organes, dit la salope au gamin qui se déshabille, lui aussi. Regarde, lèche, suce, baise, encule, fais ce qui te plaît, mon chéri… »
Olivier est fasciné par le paysage uro-génito-anal de la mère de famille obscène. Martine se penche en avant, ouvre les cuisses comme une nonne son missel du dimanche, écarte ses fesses à deux mains et sourit au petit bouc enchanté de ...
... l’aubaine. La vulve est superbement disproportionnée. Hors de la jungle des poils noirs, saillent un clitoris gigantesque et des nymphes hypertrophiées, pendantes comme des oreilles de cocker. Le membre femelle, une vraie clitopine, atteint quinze centimètres de longueur pour un diamètre de quatre : c’est un bâton de chair rouge, boudiné, raide et gluant, qu’achève un gland grumeleux, violacé et effilé comme celui d’un chien. L’extrémité de l’organe est munie d’un orifice fendu : la salope éjacule comme un homme. Ce clitoris royal domine comme un totem indien une vulve de jument. Les grosses lèvres, hypervelues, boudinées, grasses, définissent une longue fente sans cesse dégoulinante de jus, qu’encadrent les deux nymphes rouges et ballottantes, en tablier d’Hottentote. Ces hallucinantes pièces de chair ressemblent à des tranches de foie de génisse, épaisses de deux centimètres et larges de vingt. Elles cascadent en ondulant plus bas que la mi-cuisses. Sur vingt-cinq centimètres… Le vagin s’ouvre entre ces d****aux d’amour, tel un gouffre compliqué d’où coule en permanence un jus féminin épais, translucide, hyalin, gras et tiède comme du sperme.
Sous la vulve anormale, on voit la raie du cul encombrée d’un incroyable fouillis de poils noirs longs de vingt centimètres, entre lesquels bée le cratère anal. La femelle se fait enculer et prend la main dans le rectum depuis sa plus tendre enfance. Deux mains, depuis l’adolescence… Elle est dilatée à l’extrême. Son trou à merde ressemble à ...