1. Le regard vert


    Datte: 11/03/2019, Catégories: fh, jeunes, inconnu, vacances, voyage, train, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Auteur: Athanagor, Source: Revebebe

    ... regard de ses parents, nos jambes restent en contact étroit. Nous sommes à nouveau immobiles. Nous nous regardons, sans détour, le visage bouillant. Attentifs à la chaleur qui émane de nos mollets et qui remonte le long de nos jambes.
    
    Après un bref coup d’œil à ses parents, ma voisine bouge à son tour : elle plonge subitement le buste en avant, sa main glissant sous la table. Je m’attends à sentir le contact de ses doigts mais elle se redresse quelques secondes plus tard pour se caler à nouveau dans son fauteuil.
    
    Ses mains remontent le long de ses jambes pour se blottir entre ses cuisses, comme pour se réchauffer. Justement un frisson la parcourt. Ses cils se mettent à battre plus rapidement le temps d’une seconde.
    
    Je suis fasciné.
    
    Et puis je la sens à nouveau. Je sens d’abord une légère pression sur ma cheville. Puis sur mon tibia. Et je comprends brusquement qu’elle s’est déchaussée et que c’est son pied qui glisse sur ma jambe et cherche à s’introduire entre le tissu de mon pantalon et ma peau.
    
    Je ne bouge plus du tout, je me laisse faire, le visage en feu. Tous les sens sont tournés vers elle, attentifs. Ses cils ne battent presque plus : ses grands yeux verts aux pupilles dilatées sont plongés dans les miens.
    
    Je sens ma respiration se faire plus profonde. Mes tempes battent de plus en plus fort. J’ai l’impression que tout mon être dégage une chaleur extrême.
    
    Je vérifie encore une fois que nos voisins immédiats ne s’aperçoivent pas que la principale ...
    ... source de chaleur du wagon est assise à côté d’eux. Les parents sont toujours absorbés par leur lecture.
    
    Ma belle inconnue a profité du bref moment où je ne la regarde plus pour dégager son pied de mon pantalon et pour le plaquer un peu plus haut sur l’intérieur de mon mollet. Lorsque nos regards se croisent à nouveau, je suis certain qu’elle sourit.
    
    Ses yeux me sourient ! Ils semblent même se moquer de moi, de mon inquiétude d’être surpris par ses parents ! Et puis son pied se fait plus téméraire et commence à remonter plus haut encore le long de ma jambe, entre mes jambes !
    
    Pris de panique, je tends rapidement ma main sous la table pour l’arrêter. Je lui saisis le pied à la hauteur de ma cuisse. Je suis dans un état second à la fois affolé et excité.
    
    Mais je la maintiens contre ma jambe, sans bouger, le temps d’être certain que nos derniers mouvements n’ont pas alerté les parents.
    
    Après quoi, je ne peux me retenir de partir moi aussi à l’aventure : sous couvert de légers massages mes doigts la parcourent, suivent les courbes de son pied à travers la fine chaussette. Elle tressaille à deux reprises, elle doit être chatouilleuse mais son pied reste malgré tout calé dans ma main et ses yeux verts dans les miens.
    
    Je raffermis alors ma prise avant de reprendre mes caresses.
    
    Mais brusquement je m’arrête : le train ralentit ! Nous arrivons en gare de Grenoble.
    
    La mère lève les yeux de son journal et regarde sa montre. Nous nous figeons. Sous la table son ...
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