Extrêmes
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
f,
jardin,
Masturbation
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... geste mécanique, sans importance, mais j’y prends plaisir. Une saute de vent glisse sur moi et je sens distinctement une brise sur la peau de mon pubis. Mon bosquet serait-il déjà sec ? Sans doute, je ne sais pas combien de temps je suis alanguie ainsi, offerte au soleil. Pour en avoir le cœur net, mes doigts descendent sur mon bosquet, et y découvrent une touffe particulièrement dilatée et veloutée. Amusée, je joue ainsi avec mes boucles soyeuses, m’étonnant de les trouver si douces, comme une peluche. Parfois, j’effleure la peau satinée de mon pubis, elle est douce et chaude, nichée dans la forêt de mes poils duveteux.
Tout en faisant tournoyer mes boucles autour de mes doigts, je me laisse aller aux caresses du soleil, à la brise qui me rafraîchit, à ce jardin qui m’enchante. Mes doigts descendent un peu plus, je suis à l’orée de ma fente aux lèvres pulpeuses. Je constate bientôt qu’elles sont légèrement entrouvertes et humidifiées… Je m’en étonne un peu, c’est sans doute pour ça que je ressens si bien la brise en cet endroit intime. Suis-je si humectée que ça ? Pour m’en assurer, je glisse un doigt dans ma fente. Tout mon corps se tend, une violente décharge électrique me transperce de la tête aux pieds !
La bouche ouverte, la peau hérissée, un léger tremblement dans tous mes membres, j’essaye de récupérer de cette si soudaine agression. Mais ma main reste rivée dans mon bosquet, comme soudée, comme si je n’avais plus aucun contrôle sur elle. Le soleil semble ...
... redoubler d’ardeur, la brise me caresse plus encore. Mon corps est à la fois lourd et léger.
Je passe ma langue sur mes lèvres tandis que mon majeur m’immisce voluptueusement dans ma fente. Mon index et mon annulaire restent au-dehors, prenant en pince mes lèvres intimes et charnues. Mon sexe, pris ainsi entre mes doigts, me procure un bien fou, la caresse est intense. Une violente secousse tend mon corps affolé quand je frôle mon clitoris. C’est dément et c’est si bon à la fois ! C’est la première fois que je me laisse aller ainsi ! Intriguée, je continue, je veux savoir, est-ce aussi affriolant que Patricia le dit ? Au vu de mes premières réactions, je pense que ça va être pire que ce qu’elle avait pu me décrire. Je me suis à peine touchée que, déjà, je frémis de la tête aux pieds, mon cœur battant la chamade !
Je veux, je veux, je veux ! Mon corps arqué, une main agrippée au rebord de la chaise longue, mes doigts farfouillent en moi, se chargent de cyprine, virevoltent entre mes lèvres détrempées, dans mes recoins intimes, exacerbant mon petit bouton rose au maximum, sans relâche, sans répit. Une multitude de décharges électriques traversent, transpercent mon corps agité de mille soubresauts ! C’est fou, c’est divin, c’est incroyable ! Chaque fois qu’un éclair de jouissance me zèbre, me laissant pantelante, chaque fois que je crois mourir de plaisir, chaque fois je franchis une nouvelle étape et j’entrevois un autre palier, un autre univers !
Je ne me lasse pas de ...