Extrêmes
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
f,
jardin,
Masturbation
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... impunément dans mon obscur bosquet, sous ma petite culotte tendue. La sensation est saisissante, je me relève à moitié dans un cri, la bouteille au bout de mon bras tendu, haletante !
J’ai l’impression d’avoir des millions d’étoiles scintillantes devant les yeux, un tourbillon naît au bas de mon ventre mouillé, un long frémissement me prend toute entière. La bouche ouverte, les yeux écarquillés, toute tremblante, je pose la bouteille au sol.
Je ne sais plus quoi penser… Venant de ma poitrine, un autre torrent s’engouffre à son tour, lubriquement, dans ma forêt, me procurant une décharge électrique, noyant sans vergogne mon entrejambe. Je serre les jambes, la sensation est trop forte, trop puissante, trop sauvage ! Le regard vague, perdu au loin, je flotte, je suis ailleurs. Puis je me repose au sol, ma robe est mouillée, mon slip est trempé. Je me déboutonne pour constater les dégâts. Effectivement, les filets d’eau sont passés sous ma culotte, entre ma hanche et mon ventre. Du beau travail !
Toute rouge, je réalise que ma robe d’été est complètement ouverte, de mon cou à mes jambes ! Je jette un coup d’œil circulaire alentours : rien, personne. Alors j’écarte les pans de la robe humide, le soleil en profite pour venir me caresser de ses rayons ardents. J’hésite un peu, je ne peux pas rester avec une culotte trempée ! Un autre coup d’œil, puis, me soulevant un peu, je fais glisser mon slip sur mes genoux. Mon bosquet est totalement imbibé, comme si je sortais de la ...
... douche. Tant pis, j’enlève !
Je suis juste dans l’axe du soleil, mon corps offert, ma robe grande ouverte. Il fait chaud, il fait bon, je n’ai franchement pas envie de me lever pour aller me sécher, autant laisser faire la nature et les rayons solaires ! Très vite, je replonge dans mes mille couleurs, mes mille senteurs, mes mille sensations, je rêve à des formes abstraites, sans sens, sans contour, des nuages nébuleux qui m’enveloppent de leur douceur, de leur tendresse. Mon corps flotte au-dessus de la chaise longue, sans point d’appui, aérien.
Mon corps livré à l’air ambiant, à la brise, entouré de millions de brins d’herbe qui oscillent en cadence. Mon corps bercé, mes cheveux épars, le vent jouant avec mes longues mèches, mon cou tendu, livré aux morsures, mes seins dardés vers le soleil qui les caresse, tout comme l’est mon ventre arrondi, si doux, si chaud, mes jambes et mes bras dorés, presque croustillants…
Bien, je suis si bien…
Imperceptiblement, mes mains remontent le long de mes jambes, en une fine caresse, puis je les pose sur mon ventre chaud ; je suis apaisée, si détendue, si décontractée. Un large sourire se dessine sur mon visage paisible. Si j’avais su, j’aurais profité du jardin ainsi depuis longtemps, mais je n’osais pas. Maintenant, ça me semble si simple à faire et à vivre !
Patricia n’avait pas tort : être nue au jardin à se dorer au soleil est une activité très agréable !
Mes mains caressent délicatement l’arrondi de mon ventre, un ...