Joues rouges & couilles bleues SP 01 - Histoires de Sexe

Joues rouges & couilles bleues SP 01

... suis donc retrouvé à la suivre avec un petit carton devant l'entrejambe pour ne pas prendre le moindre risque, ne sachant pas trop ce qui pouvait pointer un peu... vers l'avant... vers le haut...

dans le doute, hein

...

Je la suivais dans l'escalier pour passer du garage au rez-de-chaussée pour appeler l'ascenseur, les yeux rivés sur son cul en mouvement, si sexy; sans que ce soit entièrement ma volonté. Les escaliers étaient assez étroits et mon carton trop léger pour accaparer mon esprit à ne pas louper une marche et perdre l'équilibre. Je tentais bien de regarder un peu vers le bas, un peu vers la gauche, mais je n'avais son magnifique fessier qu'un peu moins centré dans mon champ de vision... jusqu'à ce que je relève un peu les yeux justement, "malgré moi" j'étais tenté de me dire, mais une telle force d'attraction capable de m'y forcer n'existerait que dans une métaphore...

Je me retrouvais à ne plus trop savoir où me mettre en attendant l'arrivée de l'ascenseur, je me disais bien que mon pantalon ne laissait rien voir mais j'avais des doutes, irrationnellement, préférant me mettre accroupi avec le carton sur les genoux. Je bredouillais l'excuse suffisamment valable d'éviter de laisser puis reprendre le carton pour moins se fatiguer, la remerciant intérieurement de ne pas avoir mis ni bottes ni talons mais simples chaussures en toiles. Enfin bon... j'étais de toute façon dans tous mes états, ne pouvant que ressentir le poids de son élégance, sa beauté, sa ...

... position par rapport à la mienne, à hauteur de ses hanches, et encore! Mon visage rouge, mon érection pathétique, mon expression que je n'espérais pas trop ridicule en lui parlant, donc regardant en l'air... soit sa poitrine vue d'en dessous par nécessité encore une fois.

Ça continua dans l'ascenseur, évidemment, pour ne pas avoir l'air con après lui avoir dit que je faisais ça pour moins me fatiguer, elle y avait poussé son carton du pied, restant debout. Elle ajouta ses mains sur ses hanches pour finir de me rendre tout petit et gêné, la tête un peu dans la brume, prise de petits picotements.

C'est le début... c'est que le début, je m'y habituerais...

Je me suis arrangé pour sortir le premier, histoire d'éviter de tomber dans les pommes la tête la première dans ses fesses pour peu que mon regard s'y pose à nouveau... est-ce que ma légendaire force de moucheron du 3ème âge pouvait justifier une bouille aussi écarlate? Et est-ce qu'elle imaginait ma force comme telle plutôt que comme celle d'un rongeur en plein dans sa jeunesse? Une telle surestimation pousserait-elle naturellement une jeune femme avec de telles formes, et conscience de les avoir, à n'attribuer qu'une faible partie de leur coloration à mon épuisement?

J'avais vraiment l'impression d'être coupable de tout faire pour me rincer l'oeil autant que possible, de générer toutes ces situations volontairement alors que j'étais plutôt sur la défensive, super gêné, elle était super sympa avec moi et je ne ...