1. Campus 3


    Datte: 09/03/2019, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster

    ... professeur, cette inconnue il y a moins d’une heure qui me laissait maintenant lui caresser le cul ! Je fourrais mes doigts dans le sillon de ses fesses, y frottait ma main de plus en plus fort, de son trou que j’avais vu comblé tout à l’heure, à sa chatte poisseuse et brûlante, parée d’un mince duvet délicatement taillé.
    
    Elle cessa sa caresse buccale. Elle commençait à respirer fortement et on pouvait facilement l’entendre de la pièce d’à-côté… Elle me poussa fermement pour que je m’allonge tout à fait, et se mit à califourchon sur moi. Ma divine cavalière à nouveau m’offrait le spectacle superbe de sa poitrine un peu lourde mais digne. Elle enfila ma verge, bientôt avalée par son con littéralement bouillant, et commença à se trémousser tout doucement au-dessus de moi. Ses superbes mamelles ballottaient avec souplesse au-dessus de mon visage et mon regard était absorbé par leur fascinant mouvement. Comme j’aimais par ailleurs le contact de ses cuisses chaudes contre mes cuisses !
    
    Pendant ce temps, je caressais sa taille, ou plutôt c’est elle qui faisait coulisser son corps exquis entre mes mains… C’est à cet instant que je la vis ! Gaëlle était là, assise au coin de la table, en face de moi. Elle avait quitté le bureau sans que je m’en aperçoive et se retrouvait là, seule à nous observer… Depuis combien de temps ?
    
    Je voyais son regard qui me semblait si triste et j’avais terriblement honte. En même temps, j’étais totalement enveloppé par la jouissance que ...
    ... m’offrait ma divine hôtesse. J’étais entièrement en son pouvoir et je ne pouvais plus lutter. C’était comme si la vision du visage de mon amie, dans le regard de laquelle je crus déceler quelques larmes, quoique si proche, était devenu lointain, presque irréel… J’étais en train de baiser la femme de son professeur, et je la voyais là comme démunie, abandonnée… Toujours absorbé par son regard aimé, je la vis alors tourner de l’œil, et je crus un instant qu’elle allait s’évanouir…
    
    C’est à ce moment là que je vis ses chaussettes… Les chaussettes grises du professeur… sous la table ! Il était à quatre pattes, habillé de ses seules chaussettes et de sa chemise ouverte. Il y eut quelque chose qui me révulsa avant même que je ne réalise vraiment, dans cette vision grotesque, ces chaussettes grises, les poils de son cul, son sexe qui pendouillait flasque, comme celui d’un a****l… C’est alors seulement que je réalisai qu’il était en train de laper son sexe, comme l’aurait fait un petit chien trop gourmand… Gaëlle, dont je voyais la tête basculer, était en train de jouir sous l’effet des coups de langue de son professeur !
    
    Tout cela ressemblait à un cauchemar et en même temps, j’étais englouti dans un rêve, submergé par le plaisir ! Je fermai les yeux, à la fois pour effacer cette vision douloureuse, la refuser, et m’engloutir plus profondément encore dans les délices de jouissance que ma cavalière me prodiguait.
    
    Je perdis presque connaissance. Je ne sais pas le temps exact qui ...