Campus 3
Datte: 09/03/2019,
Catégories:
Anal
Mature,
Inceste / Tabou
Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster
... est capable, tout comme il connaît et respecte mes propres désirs.
Après un court silence :
— Je m’occupe de quelques préparatifs avant le dîner, restez là, vous n’avez rien à craindre, dans quelques instants, je suis à vous.
Sa silhouette se dirigea vers la cuisine, et comme à l’instant avec ma compagne, je pus admirer ses superbes formes, pareillement moulées dans sa robe. Elle avait des fesses superbes ! Elle referma la porte et je me retrouvai brusquement seul et en plein désarroi.
Le temps me parut très vite interminable et je ne pus m’empêcher de me lever à mon tour. Dans cette ambiance feutrée qui avait quelque chose d’angoissant, je m’approchai doucement de la porte du bureau. J’entendais de petits bruits que je ne pouvais pas définir. Dans l’entrebâillement de la porte, et je les vis alors assis sagement à discuter, lui à son bureau, elle face à lui sur une chaise, comme s’il s’agissait d’un entretien d’embauche ! Ce sont alors des chuchotements, un peu plus prononcés qui attirèrent mon attention dans la pièce à côté. Poussé par la curiosité, je m’approchai de la seconde porte, je reconnus la voix de la femme tout doucement :
— D’accord, mais fais vite !
Je me penchai et vis, par le trou de la serrure, la femme du professeur retrousser sa robe jusqu’à la taille, plaquer son torse contre la table de la cuisine les jambes ouvertes et tendues… Le garçon après avoir déboutonné son pantalon et extrait son sexe, trempa ses doigts dans ce qui paraissait ...
... être un pot de crème. Et après avoir dégagé la ficelle du string de sa patronne pour lui tartiner la raie des fesses, la pénétra par derrière sans autre cérémonie. Très vite, je pris peur d’être surpris à espionner une telle scène, et je m’installai à nouveau seul sur le canapé.
Ma charmante hôtesse ne tarda pas à me rejoindre. Il ne s’était écoulé que quelques minutes depuis qu’elle avait quitté la pièce, et j’aurais pu croire que j’avais entièrement rêvé ce que je venais de voir, tant elle s’était appliquée à rajuster sa robe avec soin. Si ce n’était la présence de ces quelques miettes de pain à l’orée de son décolleté qu’elle n’avait pas pu voir, masquées par sa généreuse poitrine… Elle vint s’asseoir dans la même position que tout à l’heure, et sans surprise, je ressentis la chaleur de son corps plus fortement encore…
— Vous n’avez pas trouvé le temps trop long ?
Je ne pouvais pas lui dire combien cela avait été court…
— Je sens que vous êtes inquiet. De quoi avez-vous peur ? C’est pour votre petite amie ? Elle est très mignonne et ici, elle ne risque rien…
Et elle posa sa main sur la mienne, puis approcha sa bouche de mon oreille. Un léger souffle tiède et le doux son de sa voix :
— Laisse-toi faire…
Elle me prit dans ses bras, et je sentis s’écraser contre mon torse sa poitrine encore perlée de sueur sous l’effet des assauts qu’elle venait de subir. Le tissu de sa robe tiède et légèrement humide par endroits adhérait à sa peau, et j’avais presque ...