1. Relation interdite (2)


    Datte: 09/03/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... peux mon amour, sodomise ta maman, mon chéri.
    
    D’un doigt, je passe à deux dans une position pour le moins acrobatique. Puis, je me dégage du sexe de maman. Je replie ses jambes jusqu’à soulever son bassin. Cela m’offre une vue imprenable sur son petit trou. Je crache dessus. Je le lèche. J’en fonce ma langue. Je crache. Je glisse trois doigts. Maman frissonne. Maman gémit de bonheur. Je glisse mon gland. Lentement, il pénètre dans les profondeurs de son rectum.
    
    — Ça va, tu n’as pas mal ?
    
    — Non, continue, tu me fais un bien fou. Ça fait si longtemps qu’on ne m’avait aimé comme ça. Mon cul, c’est la première fois, mon chéri et j’aime ce que je sens.
    
    — Maman, je suis très fier d’être le tout premier dans ton cul si magnifique.
    
    Aussi lentement qu’inexorablement, je m’enfonce dans ce cul plus que beau. Une fois bien à l’intérieur, je reste un moment sans bouger. J’en profite pour embrasser ma mère. Lentement, je vais et viens. Ses yeux se ferment. Sa bouche s’ouvre. Son soupir de félicitée est merveilleux à entendre. Je l’embrasse. Je baise ses seins. Mon bassin se fait plus sec. Je varie encore le tempo. Maman glousse. Maman vibre. Mon sexe se fait presque agressif. Maman aime. Je varie encore. Je baise tendrement ses tétons. Mama glousse. Maman vibre. Je donne tout à cette femme superbe. Maman aime. Maman glousse. Maman jouit et c’est tout ce que je voulais. Je continue. Cela prolonge son orgasme. Maman hurle. Maman griffe mon dos. Maman dit que c’est ...
    ... merveilleux. Je me retiens de jouir.
    
    — Maman, tu es superbe. J’adore quand tu jouis.
    
    — Oh mon amour, tu es meilleur amant que je ne le supposais.
    
    — Ce n’est pas fini, maman. Je veux te voir mourir de plaisir.
    
    Mon sexe dans son cul, je me retiens autant que je peux de jouir. Je n’en continue pas moins d’aller et venir. Son cul est une merveille. Maman recommence à glousser. J’adore l’entendre. Je veux qu’elle jouisse. Je vais même l’aider en éjaculant dans son postérieur. Parfois, je me penche. Nous nous embrassons. Peu à peu, ses baisers deviennent plus furieux. Je ne déteste pas, au contraire. Quand je mordille son sein, je me vide en son anus. Alors, elle grogne, un long, très long grognement. Puis, c’est encore un hurlement, un oui interminable à grand renfort de oooh, de aaah ou de Râââh. À croire qu’elle n’avait plus été aimée après ma naissance. Sur son corps, je m’allonge, ma bouche soudée à la sienne. Ses bras autour de moi me collent davantage contre sa poitrine.
    
    — Maman, je t’aime.
    
    — Moi aussi, mon amour de fils.
    
    — Mais comment tu m’aimes, comme ton fils ou comme ton amant.
    
    — Les deux mamour, les deux. Dis, ça te plairait qu’on aille passer un petit week-end à la montagne ?
    
    — Seulement toi et moi ?
    
    — Bien entendu. Ton parrain y possède un petit chalet perdu à flanc de montagne.
    
    — Nickel, on pourra s’aimer sans qu’on ne dérange personne.
    
    — Exactement.
    
    — Alors, c’est vrai, tu as aimé coucher avec moi.
    
    — Oui, excuse-moi si je n’ai pas ...
«1234...»