Relation interdite (2)
Datte: 09/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: charimarien, Source: Xstory
— Mon chéri, qu’est-ce qu’il t’arrive ?
Silence, je descends. Dans la cuisine, je me prends une bière que je vide pratiquement cul sec.
— Mon amour, qu’est-ce qui se passe ?
— Il y a que j’allais faire une connerie monstre avec ma propre mère.
— Mais...
— Mais quoi, c’est vrai ou quoi ?
— Oui, mais... ben, c’est toi qui avais raison, j’en suis désolée.
— Maman, je t’aime comme jamais je n’aimerai à l’avenir. Mais ai-je le droit de te baiser ?
— De me baiser, non. Mais de me faire l’amour, oui. Viens, tu m’as mis sens dessus dessous, mon amour.
Je me suis approché d’elle. Elle a encore sa robe ouverte, son soutien-gorge au-dessus de ses seins merveilleux. Je lui roule une pelle assassine en malaxant ses seins presque vulgairement. Même sa chatte est vulgairement violée de mes doigts.
— Comme ça tu aimes ?
— Non mon amour, je te préférais comme dans ta chambre.
— Moi aussi. Pourtant, là, même si je le voulais, je ne pourrais pas t’aimer. Te baiser, ça oui.
— Mais pourquoi ?
— Parce que je suis en colère sur le fait que tu es ma maman, la femme qui m’a mise au monde, la femme la plus magnifique que je connaisse.
— Alors, baise-moi comme tu veux, mais prends-moi.
Comme il m’est aisé de soulever sa presque cinquantaine de kilos. Je la dépose sur le plan de travail de la cuisine. Je lui retire sa robe délicatement. Je n’ai plus envie de la baiser comme un mal propre. Non, j’ai juste envie de l’aimer de partout.
— Maman, je vais te ...
... posséder de partout. Par-devant comme par-derrière. Tu te sens prête ?
— Aime-moi comme bon te semble. Comble-moi, mon chéri.
Je la couche. Je me mets à la lécher. Je passe de son sexe au goût exquis à son petit trou, non moins exquis. Je dévore son sexe, je darde son cul. Elle jouit plus vite que l’éclair. Elle m’avoue même que jamais un homme ne l’avait léchée comme moi et surtout pas son petit trou. Alors je continue mes préliminaires. Je me sens en force, plein d’une puissance qui ne demande qu’à passer d’un corps à l’autre. Puis, je monte m’allonger près de son corps. Je masse ses seins. Je les tète. Je les aime. Sur son corps, ma bouche s’en va fouiner partout. Avant que je n’écarte ses cuisses, je sens sa main sur mon sexe. Elle me veut. Je la veux. Nous nous voulons. Je me glisse sur son corps. Je guide mon sexe dans le sien. Il est chaud. Il est doux. Il est étroit, délicieusement étroit. Je commence par des mouvements lents, tendres. Ma mère me fixe. Je crois qu’elle découvre qui je puis être devant la femme que j’aime.
Avec ma petite amie, si je peux le dire, je me suis fait la main. À travers elle, c’est maman que j’aimais.
Maman jouit. Nos transports achèvent de la convaincre que je peux être bon amant. Je continue, cette fois, je varie mon rythme. Maman est rapidement secouée de partout. Encore une fois, elle jouit. J’ajoute un doigt sur son cul. Je le masse doucement sans chercher encore à le pénétrer.
— Ton doigt, il me fait du bien. Vas-y, tu ...