1. Dans le noir (3)


    Datte: 09/03/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... de bois, je ne conteste pas ta décision. Là, caché sur une sorte de place faite pour se garer, loin de la route, tu coupes le moteur. Et je sais que tu vas me faire l’amour en pleine nature. Mon ventre émet une sorte de plainte, un cri de satisfaction. Je n’ai guère le loisir de réfléchir plus longtemps que déjà prestement tu as débouclé nos ceintures de sécurité. Maintenant ta bouche part à la recherche de mes lèvres et j’apprécie ce baiser dans un endroit aussi sombre et calme. Tu en profites pour me caresser les seins et je gémis, me tords sous ces câlins précis.
    
    Le reste s’enchaine avec bonheur. C’est cependant un peu étroit, mais bon, dans le feu de l’action… puis finalement nous passons à l’arrière de notre berline et sur la banquette, je te laisse dominer ton sujet. C’est agréablement fort, c’est même parfois violent. Mais je ne suis pas nue et mes vêtements parfois entravent mes mouvements. Mais après tout, si nous avions voulu un certain confort, il nous suffisait d’attendre d’être chez nous, dans notre lit ou notre salon. Là, c’est plus ardu, plus rude également, mais c’est très bon et je jouis comme une folle.
    
    La seule chose que je te refuse c’est de prendre la place que tu as remplie avec ton « bijou ». Tu voulais que je le porte eh bien, je le garde, même durant le pistonnage que tu m’infliges. Enfin… que je m’inflige, puisque c’est moi qui suis au-dessus tout le temps de ce corps à corps épique. Et tu n’es pas très long non plus pour t’épancher en larmes ...
    ... séminales lâchées par petits jets qui maculent mon ventre, mais le tien également et puis un peu le cuir de notre jolie voiture. Nous restons de longues minutes à reprendre nos souffles courts, perdus dans une bataille d’où tous deux sommes sortis vainqueurs.
    
    La fin du trajet nous voit silencieux, mais totalement comblés. Ce n’est pas très long avant que j’ouvre la porte d’entrée de l’asile qui nous donne tant de joie. Je ne t’attends pas, filant de suite sous la douche. Le sperme qui colle à mon ventre n’est pas plus agréable que cela. Mes habits sont jetés pêle-mêle dans la panière de linge attendant la machine à laver. Et c’est avec un délice non feint que je me coule sous le jet tiède. J’ai à peine commencé mon savonnage que toi aussi tu fais irruption dans l’espace de la cabine à l’italienne.
    
    Tu as visiblement retrouvé une certaine vigueur et mon Dieu, pourquoi devrais-je me priver de ce bâton de berger séduisant ? Finalement l’agnelle n’est pas forcément bêlante d’attente. Je prends cette fois les opérations en main et tu ne trouves rien à redire à cela. Je te soupçonne même d’y prendre un malin plaisir. C’est donc dos collé au mur, avec la pomme qui crache sa tiédeur sur nous que je me laisse hisser contre ton torse. Puis grâce à mon poids, je dois forcément redescendre et cette fois encore, la cheville trouve son tenon ! Oh mon bon menuisier ! Nous râpons doucement sans trop faire de copeaux.
    
    Le plaisir est tout aussi fulgurant que fugitif. Cette posture ne ...
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