Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 02-03
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... bien de lui parler discrètement pour quémander une indulgence mais je ne réussis pas. Si bien que lorsqu'il partit, j'étais dans une monstrueuse incertitude : est-ce que la punition détaillée hier au soir m'était vraiment destinée? Tantôt, je la considérais comme une véritable histoire de quartier, tantôt comme un ordre implicite.
Théo s'était révélé être un grand pervers et à son âge, on a peu conscience de la réalité. J'étais sûre qu'il avait rêvé, imaginé cette immonde situation et qu'il me l'imposait par pur sadisme. En plus, par hasard ce matin-là, il était parti tôt pour me laisser seule dans le tourment.
Finalement, par crainte de pire encore, je me décidai à aller servir les clochards.
Je n'avais pas beaucoup de temps : me vêtir, faire du café, arriver au parking pour 8 heures. Terriblement nerveuse, je me pressai entre mes vêtements, le thermos, les tasses, courus à la voiture, arrivai deux minutes avant l'échéance.
Sur environ dix places disponibles en arc de cercle, il n'y avait que deux vielles voitures garées. Il faut dire que personne ne laissait un véhicule de luxe la nuit dans cet endroit. Au-delà du parking, quelques buissons feuillus, puis quelques arbres, avec entre eux au milieu, deux bancs. Il n'y avait qu'un seul clochard enfermé dans une couverture sur le premier. Je me réjouis de ne voir qu'un malheureux.
Après un coup d'œil aux alentours, je laissai ma jupe et mon chemisier sur le siège. Il fallait que je me presse avant que la ville ne ...
... se réveille. Le froid du matin me saisit. Mes tétons prirent une dimension démesurée. Nue, à l'exception de mes chaussettes blanches et de mes souliers noirs, je courus jusqu'au banc et tirai la couverture du visage.
Il était tellement moche que je poussai un cri. Age entre cinquante et soixante, barbe pas rasée, peau rouge d'alcool. Il ouvrit les yeux, sourit : ses dents jaunes éparses apparurent comme dans un visage de film d'horreur.
- Tenez, monsieur, voici du café. Dépêchez-vous, je n'ai pas de temps.
Il peinait à se redresser, aussi l'aidai-je. Mal m'en prit car alors il se rendit compte de ma nudité.
- Mais t'es à poil toi! C'est le Secours Populaire qui fait ce cadeau. Putain, y a longtemps que j'ai pas vue une gonzesse à poil. T'as pas froid aux yeux! Eh les gars, venez voir.
A ma grande surprise, deux types arrivèrent aussitôt, sortis de nulle part, un grand maigre et un autre de taille moyenne. Ils devaient avoir dans les 25 ans, encore deux jeunes hommes égaré sur les chemins de l'alcool. Je leur fis face en avançant une tasse de café. Le premier la saisit en auscultant ma chatte très poilue, le second de même. Alors que je remplissais la seconde tasse, par derrière une main brutale vint se fourrer entre mes jambes. Le premier clodo du banc venait profiter de l'occasion. Je donnai la tasse, me retournai sèchement en chassant la main intrusive. Mais tout aussitôt, deux mains bloquèrent mes épaules dans mon dos, une autre arriva dans ma raie, puis un ...