1. Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 02-03


    Datte: 08/03/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... d'urine de peur.
    
    - N'a-t-elle pas pu obtenir le pardon de ses frères, demandai-je?
    
    - Ma pauvre Françoise, tu rêves. Elle n'a eu que le droit de conserver ses chaussettes blanches et ses souliers noirs! Ils lui ont dit : d'abord tu obéis à notre ordre premier, ensuite tu accomplis ta punition.
    
    - C'est vraiment dur, dit mon mari. Il faut de la sévérité, j'en conviens, mais ça c'est de la torture. Elle n'a pas essayé de résister?
    
    - Oh que non, continua son fils, car faute d'obéir entièrement à l'ordre et à sa punition, ils l'ont menacée de... de devoir... eh... de devoir...
    
    - Ben quoi, m'exclamai-je affolée?
    
    - De devoir sucer tous les clodos, répondit-il en me bloquant le regard.
    
    Je ressentis un courant électrique depuis mes chevilles jusqu'au ventre, un peu comme un vertige d'altitude. Un peu d'urine encore s'échappa dans ma culotte. Théo venait de m'annoncer ma punition et même le risque supplémentaire en cas de désobéissance.
    
    - Françoise, demanda le petit monstre, tu nous sers une glace, tu sais, une glace comme hier?
    
    Livide, je filai à la cuisine, y ôtais mon pantalon, ma culotte, mon chemisier et mon soutien-gorge. Je ne conservai que mes mules et mon tablier. Avec deux coupes de glace préparées, je jetai un œil dans la salle à manger. Théo attendait, une main sous la table ; Philippe avait repris la lecture de son journal. Je m'avançai.
    
    Philippe occupait le petit côté de la table de salle à manger, Théo était à sa gauche. J'arrivai dans le ...
    ... dos du premier et déposai sa glace. Par chance, il ne vit rien, restant absorbé par sa lecture. Passant derrière lui, je posai la coupe de Théo. J'avais une terrible envie de fuir en cuisine, mais la perspective de futurs tourments me força à rester trois pas en retrait, à attendre qu'ils mangent.
    
    Théo, voyant que je restai dans le dos de mon mari, me fit signe d'aller bien en face d'eux. Je me déplaçai alors autour de la table jusqu'à venir à la place que j'avais occupée devant les deux gamins. Seules les bouches faisaient du bruit. Théo me regardait en souriant. Il attendait patiemment que son père lève la tête. Ca ne tarda pas.
    
    Je vis son regard venir sur moi, ses sourcils se froncer, une rougeur lui monter aux joues.
    
    - Mais qu'est-ce que c'est que cette tenue? Qu'est ce que tu fais comme ça? Pourquoi tu restes plantée là?
    
    - Françoise, s'exclama Théo à son tour, tu te rends compte? Tu te mets nue sous ton tablier devant ton fils? Je suis ton fils quand même!
    
    - Je... j'avais chaud... pardon. Je ne le ferai plus.
    
    - File dans ta chambre! Je ne veux plus te voir. Et ne recommence plus, hurla mon mari.
    
    Le cœur battant d'une indicible honte, je partis à reculons.
    
    Le soir, mon mari me baisa. Assez rapidement comme toujours mais peut-être plus vigoureusement.
    
    JOUR 7 -- MERCREDI - Les clochards
    
    Je servis les petits-déjeuners plus tôt que d'habitude car les hommes partaient de bonne heure. Mon beau-fils sifflotait comme si la vie était belle. J'essayai ...
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