1. Cocu passé : Jean


    Datte: 07/03/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, inconnu, fépilée, danser, Collègues / Travail collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral 69, pénétratio, fdanus, Auteur: Raspoutine1968, Source: Revebebe

    ... à onze heures et quart que je reçus l’e-mail de délivrance :
    
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    « Mon chéri, comme il est difficile de te parler de tout ça. Mais je vais essayer du mieux que je peux.
    
    Quand j’ai vu Jean la première fois, j’ai été un peu déçue. C’est un homme plutôt quelconque, et nous n’avions pas grand-chose à nous dire, probablement intimidés l’un et l’autre par la situation dans laquelle tu nous avais placés. Bref, nous sommes allés dans un restaurant qu’il connaissait, et nous avons échangé quelques banalités pendant le repas. Il était très intimidé par moi, semble-t-il. Il a quand même osé poser sa main sur la mienne une fois.
    
    Ensuite, il m’a emmenée sur les quais de la Seine, puis sur ce petit pont que j’adore (le pont des Arts ?). J’étais penchée sur le bord et là, sans que je m’y attende, il a passé ses bras autour de ma taille et a déposé un petit baiser léger sur ma tempe. Ce geste tendre m’a fait littéralement fondre et à partir de cet instant, la glace s’est brutalement rompue entre nous. Je me suis retournée et nous nous sommes embrassés langoureusement, tendrement, longuement. Ses mains parcouraient mon dos, mes hanches, mes fesses, et sa langue allait et venait comme une folle contre la mienne, nos salives se mélangeaient. Il était tout serré contre moi et j’ai senti son sexe qui commençait à durcir contre mon bas-ventre. Malgré mes principes, j’ai eu immédiatement envie d’aller plus loin avec lui.
    
    Je lui ai susurré à l’oreille : j’ai envie de faire ...
    ... l’amour avec toi, Jean.
    
    Il m’a dit : viens, mon bureau n’est pas loin et il n’y a plus personne à cette heure (tu m’étonnes, à minuit !).
    
    Nous nous y sommes rendus à pied, la main dans la main, nous arrêtant de temps à autre pour nous embrasser et nous caresser. Son bureau était situé au 3e étage d’un grand immeuble triste.
    
    Sitôt entrés dans son bureau, il a refermé la porte à clé derrière lui. On ne sait jamais, m’a-t-il dit, si jamais quelqu’un avait eu la même idée que moi ce soir… J’ai éclaté de rire. Mais je lui ai demandé de laisser la porte entrouverte, car le fait de pouvoir être surprise en train de faire l’amour ici était pour moi un piment supplémentaire.
    
    Jean en a profité pour m’enlever mon manteau, qui le gênait pour ses caresses ; puis, presque immédiatement, il a ôté mon pull. Quand il a vu ma poitrine, sous mon soutien-gorge, il a poussé un petit cri d’admiration, me disant qu’il la trouvait magnifique dans cet ensemble vert pomme. Pendant ses opérations de déshabillage, il n’arrêtait pas de m’embrasser, de me caresser les cheveux, le visage, me disant que j’avais l’air d’une sainte. J’enlevai moi-même mon soutien-gorge et offris mes seins à sa concupiscence. Il les a pris dans ses mains, les a soupesés délicatement, effleurant mes tétons, puis y a porté ses lèvres douces.
    
    Puis il m’a dit sans préambule : Ava, je te veux nue.
    
    J’enlevai alors mes chaussures, puis mon pantalon un peu serré, toujours debout devant lui. Je pouvais voir une belle bosse ...
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