Cocu passé : Jean - Histoires de Sexe

Cocu passé : Jean

Je me prénomme Nicolas, je suis un avocat parisien de 38 ans. Mon épouse, qui a passé son diplôme, est également avocate, mais a choisi de ne pas exercer pour s’occuper de nos deux enfants. Elle se prénomme Ava (nom d’emprunt, pour les raisons que vous imaginez).

Cela fait maintenant plusieurs années que je n’ai pas pris la plume pour vous raconter mes aventures sexuelles avec mon épouse. Mon dernier récit remonte, si je ne me trompe, à cinq ou six ans.

Comme je vous l’écrivais à cette époque, j’étais parvenu tant bien que mal à convaincre mon épouse de pratiquer l’amour à trois, ou en tout cas de faire l’amour avec d’autres hommes que moi, en ma présence ou non d’ailleurs. Je dois avouer que c’était surtout une idée et un fantasme à moi, et qu’elle a accepté de le faire pour mon propre plaisir.

À l’époque, ma femme était très mince, avait une poitrine menue, mais ferme et appétissante. Elle avait des fesses à mourir sur place et son corps en général n’était pas loin de celui qu’elle devait avoir adolescente. Ses jambes notamment étaient si longues qu’on avait du mal à en voir la fin.

C’est le moment de vous raconter l’une de ses expériences d’alors.

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Si elle avait bien fini par accepter l’idée de me tromper – sans me tromper –, elle avait exigé que ce soit moi qui effectue la sélection des « candidats », ce qui je fis bien volontiers.

C’est ainsi que je fis la connaissance informatique, sur un site spécialisé dans ce type d’annonces, d’un ...

... homme prénommé Mathis. Il était Israélien, proche de la quarantaine (juste en dessous, d’après ce que j’ai cru comprendre) et me semblait intelligent et sympathique, deux critères prioritaires pour ma femme. Dans le même temps, je fis également la rencontre d’un quadragénaire prénommé Jean. Celui-ci aussi avait retenu mon attention et me semblait doux et en attente de quelque chose. Je l’avais rencontré, celui-ci, dans un café et savais donc à quoi il ressemblait. C’était un mec pas mal de sa personne, un peu bedonnant, mais qui ne l’est pas à la quarantaine ?

Dans un premier temps, il avait été décidé qu’ils correspondraient avec mon épouse, mais par l’intermédiaire de ma boîte e-mail. Deux concurrents pour mon épouse.

Les échanges furent cordiaux, d’un niveau assez élevé même en ce qui concernait Mathis, dont l’intelligence ne cessait de me surprendre agréablement. Ses fantasmes étaient d’ailleurs très élaborés et il me faisait part quasi quotidiennement de scénarios très excitants. Je vous en ferai le récit plus tard, puisque certains de ces scénarios ont été mis en application.

Il fut finalement décidé par mon épouse qu’il serait plus simple qu’elle corresponde directement avec Jean et Mathis, ce qu’elle fit.

À partir de cet instant, je perdis un peu la maîtrise de la situation, tant et si bien qu’un jour elle m’informa qu’elle devait prochainement rencontrer Jean, un soir de la semaine. Elle me demanda si ça ne me dérangeait pas, si je n’avais pas peur de la ...