Mastérisation
Datte: 07/03/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
hdomine,
BDSM / Fétichisme
sm,
donjon,
attache,
piquepince,
confession,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... la pression. Je le fais encore ; j’adore voir la peau se tendre, les masses devenir des globes gonflés à bloc…
Tout comme serrer des chairs entre deux planches ou deux tubes, et toutes les variantes. Admirer des seins aplatis alors que d’habitude ils sont arrogants et ronds. Tous ces ustensiles qui savent si bien écarter ou écraser. Rien qu’un simple exemple : la poire d’angoisse. Essayez donc d’imaginer tout ce qu’on peut faire avec, et où. Le simple effroi de ma chienne à la vue de cet instrument est prodigieux !
On peut faire bien des choses avec les aiguilles, à condition de ne pas transiger sur la stérilisation et de bien connaître l’anatomie, car on ne plante pas n’importe où ces choses-là, surtout quand on transperce. C’est assez excitant de voir l’aiguille s’enfoncer dans les chairs pour ressurgir un peu plus loin, puis de jouer avec cette tige incongrue.
Les laçages avec ces dizaines d’aiguilles plantées dans la peau sur lesquelles on entrecroise un long ruban. Ma chienne aime que je lui en fasse dans le dos ; c’est très esthétique en effet, et ça impressionne favorablement les autres participants. Elle en est toute fière.
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Le BDSM n’implique pas automatiquement du sexe, même si les soumises, les soumis et les esclaves sont souvent nus ou presque. La nudité sert à deux choses : elle a un aspect pratique pour jouer avec le corps et elle sert à humilier, à montrer que l’esclave est comme une bête, voire moins que rien.
Flageller par-dessus ...
... les vêtements n’est pas pratique. Et pour torturer des seins ou des sexes, il vaut mieux qu’ils soient à nu. Pour ma part, je préfère quand mon esclave porte un minimum sur elle, comme un serre-taille, des bas, des colliers. J’aime le contraste entre chair dénudée et la matière des vêtements.
Mais la nudité n’implique pas pour autant le sexe.
Néanmoins, je reconnais sans problème que ma chienne est en même temps mon vide-couilles, et j’adore abuser d’elle. Tous ses trous sont mis à contribution, ainsi que la moindre parcelle de son corps. Quand je l’utilise, je le fais à fond, et si possible, bien.
Certains Maîtres considèrent qu’une chienne est juste bonne à sucer et à être enculée (ou l’inverse), comme ils disent. C’est limitatif. Moi, je ne déteste pas quand ma soumise jouit. Elle m’en est encore plus reconnaissante par la suite, et moi, ça me plaît de la voir lâcher prise de la sorte. Parfois je lui offre un bel étalon, ou deux. Parfois je la livre à des hommes en rut. Et elle aime ça, elle aime beaucoup ça.
La première fois, elle a un peu tiqué. Je lui ai rappelé qu’elle était mon esclave et que c’était mon bon plaisir qu’elle soit l’objet, le jouet d’autres hommes. Comme je suis un bon Maître, je l’ai accompagnée dans ce nouvel avilissement. Obéissante, elle a surmonté les obstacles, prenant plaisir à me faire plaisir, puis à prendre véritablement plaisir à être un objet sexuel, désiré et comblé.
Depuis, je la livre aux concupiscences d’autres hommes et ...