1. Balade Campagnarde


    Datte: 06/03/2019, Catégories: fh, inconnu, campagne, hotel, volupté, Auteur: Verdi, Source: Revebebe

    ... monté l’escalier. Nous sommes arrivés à la porte de sa chambre.
    
    Là, un ange passa…
    
    Je lui fis un doux baiser et, sans mot dire, je lui ouvris sa porte et la fis entrer. Je lui dis :
    
    — Je vais dans ma chambre, mais si tu veux qu’on passe encore quelques moments ensemble, appelle-moi, je viendrai.
    
    Je la quittai et rejoignis ma chambre.
    
    Je restais là, au milieu de celle-ci, à me traiter d’idiot de l’avoir quittée de cette façon.
    
    Cinq minutes passèrent, dix… puis quinze…
    
    Je me dis que je ne devais pas me faire d’illusions, et que donner un baiser n’est pas plus qu’un gage de remerciement ou un moment passager de tendresse. Ce n’est pas parce qu’une femme donne un baiser à un homme dans un moment de joie et de bonheur qu’elle accepte de passer une nuit d’amour avec lui.
    
    Je pris une douche rapide et décidai de me coucher.
    
    À peine au lit, le téléphone bourdonna. Je décrochai.
    
    Un seul mot parvint à mes oreilles :
    
    — Viens.
    — J’arrive.
    
    Je me levai et allai vers sa chambre. J’ouvris la porte sans frapper.
    
    La chambre était plongée dans l’obscurité. Elle était debout devant la fenêtre, me tournant le dos. Elle portait une chemise de nuit de soie bordée de dentelle. Je mis mes mains sur ses épaules et l’attirai doucement vers moi. Ses épaules vinrent s’appuyer contre ma poitrine et sa tête se posa sur mon épaule. Mes mains descendirent le long de ses flancs vers ses hanches, glissèrent et se rejoignirent à hauteur de son ventre.
    
    Ses mains se ...
    ... posèrent sur les miennes. Je pensais qu’elle voulait en arrêter le mouvement, mais je me trompais. C’est elle qui remit mes mains en mouvement et qui les emmena à la découverte de son corps. Elle les fit ainsi remonter en passant par le creux entre les seins, sans en toucher les bouts, tournant autour, redescendant le long des flancs vers les cuisses, remontant en passant par les aines et frôlant sa toison, mais sans s’y arrêter et remontant ainsi vers la poitrine. Cette fois, elle s’arrêta sur les seins et, comme s’ils avaient attendu ce moment, les tétons se mirent à se raidir. Elle reprit la caresse en refaisant le même chemin, doucement. Mes mains sentaient son corps vibrer à leur passage. Le tissu de soie entre mes mains et sa peau procurait une sensation électrisante et sensuelle.
    
    Nos mains s’arrêtèrent au milieu de son ventre et les siennes se levèrent vers mon cou qu’elles enserrèrent. Ce geste me faisait comprendre qu’elle me faisait offrande de son corps et que je pouvais en continuer seul la découverte. Je remontai lentement vers ses seins et les caressai doucement, redescendant par le sillon les séparant vers le ventre. Je descendis encore vers son intimité secrète mais ne m’attardai pas. Je descendis plus bas par l’intérieur des cuisses et arrivai à la bordure de sa chemise. Je soulevai celle-ci et passai en dessous pour poser mes mains sur ses cuisses nues. Je remontai alors en caressant sa peau douce. Arrivé à son intimité, je posai mes mains dessus et la ...
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