1. Adélaïde et Paolo


    Datte: 05/03/2019, Catégories: fh, fhh, fhhh, hbi, jeunes, copains, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme théatre, Humour Auteur: Tengor, Source: Revebebe

    ... entend toujours gémir dans la pièce voisine. Soudain quelqu’un frappe à la porte d’entrée. William sursaute.
    
    WILLIAM — Qu’est-ce qu’il y a ?
    
    Un silence – relatif, on entend toujours gémir dans la chambre.
    
    WILLIAM — J’ai dû faire un cauchemar.
    
    De nouveau, on frappe.
    
    WILLIAM — Non, j’ai pas rêvé.
    
    La voix d’ADÉLAÏDE, derrière la porte d’entrée — Paolo ?
    
    WILLIAM, à voix basse — Ouh là ! C’est Adélaïde !
    
    La voix d’ADÉLAÏDE — Ouvre, Paolo, je sais que tu es là !
    
    WILLIAM, à voix basse — Euh… c’est-à-dire que… il est occupé, là… À voix haute — Oui ?
    
    La voix d’ADÉLAÏDE — William, c’est toi ? Ouvre-moi !
    
    WILLIAM — Ouais, ouais, j’arrive !
    
    William bondit jusqu’à la porte de la chambre et l’ouvre.
    
    WILLIAM — Paolo ! C’est Adélaïde, je fais quoi, j’ouvre ?
    
    La voix de PAOLO, au milieu des hurlements des filles — Dis-lui d’aller se faire foutre !
    
    WILLIAM — Oh merde ! Non, je vais lui ouvrir, fermez-la, et magne-toi d’être présentable.
    
    William va ouvrir à Adélaïde. Celle-ci entre. Elle dévisage William longuement des pieds à la tête.
    
    ADÉLAÏDE — Eh ben c’est comme ça que tu accueilles les gens, toi ?
    
    William, réalisant soudain qu’il est nu, tente de cacher son sexe derrière ses mains.
    
    ADÉLAÏDE — Laisse tomber, je t’ai déjà vu… Il est là, Paolo ?
    
    WILLIAM — Euh, oui. Il se reposait, je viens de lui dire que t’étais là, il arrive.
    
    ADÉLAÏDE — Il se reposait ?
    
    WILLIAM — Oui.
    
    ADÉLAÏDE — Et toi ? Qu’est-ce que tu fous là ? Et à ...
    ... poil, en plus ?
    
    WILLIAM — Je dormais, là, sur le canapé. Il faisait un peu chaud, c’est tout.
    
    ADÉLAÏDE — ?!
    
    La porte de la chambre s’ouvre, Paolo entre, nu, en sueur et le sexe droit comme un i.
    
    WILLIAM, à part — Eh ben, heureusement que je lui ai demandé d’être présentable…
    
    ADÉLAÏDE — Oh, putain, j’hallucine !
    
    PAOLO, cynique — Oui, moi aussi, je suis content de te voir.
    
    ADÉLAÏDE — Bon, ça y est, t’es calmé, tu t’es vengé ?
    
    PAOLO — Eh, je te signale que je fais ce que je veux de ma bite, okay ?
    
    ADÉLAÏDE — Bon, on peut discuter un peu, là ?
    
    PAOLO — Cinq minutes, je vais me laver.
    
    Paolo sort, en direction de la salle de bains. Adélaïde s’assoit sur le canapé, à côté de William.
    
    ADÉLAÏDE — J’hallucine, vous êtes vraiment deux énormes salauds !
    
    WILLIAM — Oh du calme, ma belle ! T’as pas de leçon à nous donner, je crois !
    
    La porte de la chambre s’ouvre de nouveau. Katarina, Tatiana, Eva et Magdalena entrent, à la queue-leu-leu, et se dirigent vers la porte d’entrée. Adélaïde rougit de colère à mesure que les filles passent devant elle. William se marre.
    
    KATARINA — Euh, excusez-nous, on ne fait que passer.
    
    EVA — Oui, on était justement sur le départ.
    
    MAGDALENA — Merci de votre hospitalité et bonne soirée.
    
    TATIANA — Et bien des choses à tous.
    
    Elles sortent.
    
    ADÉLAÏDE, explosant — Aaaaahhh !!! L’enculé ! J’en reviens pas !!! Quelle ordure !!!
    
    WILLIAM — Oh, la ferme ! J’ai mal à la tête, tais-toi !
    
    ADÉLAÏDE — Non, mais ...
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