1. De douleur en plaisirS 3


    Datte: 05/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Sexe Interracial Auteur: charime, Source: xHamster

    ... s’offrir complètement à mes sévices. Je la flagelle des pieds à la poitrine, variant, au passage, la puissance de ce vibromasseur. Elle jouit encore, je repose le martinet, me couche près d’elle, suspend les clefs à leur place. Je retire son bandeau. Je découvre des mirettes brillantes comme des diamants. J’ai continué à la caresser, à jouer avec son vibromasseur. Elle a joui bien des fois avant que je ne la sente trop fatiguée pour continuer. Je l’ai regardé se délivrer de ses entraves, un spectacle si merveilleux. Ensuite, nous avons soupé en tête à tête et aux chandelles, s‘il vous plait ! Je suis rentré très tard, après l’avoir aimée encore longuement. Je crois que les deux jours qui me séparaient de ce weekend à venir furent les plus longs de ma vie.
    
    Vendredi, impatient, un petit baise-en-ville sur le siège passager, je roule en direction d’Isabelle. Je crois que je vais lui dire que je suis d’accord de vivre avec elle, chez elle. De toute manière, un jour sans l’entendre, la voir c’est un supplice qui devient toujours plus dur à supporter. Je la découvre dans son atelier, nue devant son grand miroir, elle grave une scène SM où elle me subit. Oui, je vois ma tronche de cake sur ce travail déjà bien avancé. Son mentor japonais n’y est pas. Je l’ai remplacé. Je dépose un doux baiser sur sa nuque. Elle tressaille, frissonne. Le baiser qui suit n’en que meilleur. Jouir après un tel baiser démultiplie la force de nos orgasmes. La fessée que je lui administre décuple ...
    ... encore son orgasme.
    
    De toute la nuit, on n’a même pas pensé à manger, ou même boire, chacun mangeant l’autre, buvant l’autre. On va même baiser dehors, là, sous ce saule pleureur centenaire. On baise jusqu’à ne plus pouvoir. Un tout dernier câlin dans son lit et nous voilà enlacé pour un moment de repos complet.
    
    Je n’ai plus aucun doute, c’est avec elle que je désire passer le reste de ma vie. Même si pour ça, je dois la suivre au Japon ou je ne sais où. Même si pour ça, je dois tout sacrifier. Quoique sacrifier, ouais, bof, y a plus grand-chose à sacrifier autour de moi.
    
    Dès mon levé, je m’attelle à lui faire un déjeuner princier. Aucune peine à me retrouver dans sa cuisine, pain toasté, beurre, confiture, café. Ah, elle n’a pas de thé, ça c’est très bien. Bon ensuite, un petit pot de lait et me voilà gagnant sa chambre à coucher, aussi ému qu’un collégien. En poussant la porte, je ne peux m’empêcher de la regarder dormir. C’est vrai qu’elle est terriblement belle. Mon plateau déposé, je lui fais respirer une bonne tartine au pain encore juste tiède. Je vois son nez frétiller, ses yeux s’ouvrir lentement, sa bouche venir croquer cette belle tartine. Je lui donne la béquée, comme un père avec son bébé et Isabelle, c’est mon bébé, ma puce, mon nouvel amour.
    
    Et puis, je l’aime avec passion. Je lui donne tout ce que j’ai, tout ce que je n’ai pu ou voulu jamais donner à aucune autre une femme qu’elle. Elle me le rend le tout au centuple. Alors, je lui dis accepter sa ...
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