1. De douleur en plaisirS 3


    Datte: 05/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Sexe Interracial Auteur: charime, Source: xHamster

    ... Oblige-moi à le faire, je t'en supplie, mon Maître.
    
    - Là tout de suite. Tu me cherches ou quoi ?
    
    - Oui, je veux voir si tu as des couilles ou seulement des idées perverses.
    
    Des idées vicieuses, ce n’est pas ça qui manque depuis que je connais Isabelle. Les mettre en pratique, voilà que me tente davantage. Je n’ai pas hésité. Solidement enchainée, oui des grosses et lourdes chaines. Je la pousse dans sa cuisine, l’agenouille de force, je sors le seau, l’éponge. Le seau remplit, je le pose sur le sol, jette l’éponge dans le seau et empoigne les cheveux d’Isabelle. Je plonge son visage dans le seau. C’est tout juste si elle parvient à prendre l’éponge entre ses dents.
    
    - Tu sais ce que j’aime en toi, c’est que tu es une véritable soumise doublée d’une magnifique masochiste. Maintenant nettoie et que cela brille, je vais prendre cette belle cravache blanche pour te noircir ton cul !
    
    - …
    
    Un simple gémissement et la voilà à pied d’œuvre. Le temps d’un bref aller et retour et son cul prend feu, il restait une tache devant elle. Le bruit étouffé de sa bouche est une merveille à entendre. Assis sur une chaise, je l’observe en bandant comme un con. Parfois, ma belle cravache blanche vient brutalement rosir son si joli cul. Sur sa peau est si pâle que le rose lui va à ravir. Mais après une bonne quinzaine de minute, je n’y tiens plus. Un peu de beurre sur son anus et me voilà dans son cul. Sans tenir compte de ma queue, Isabelle continue tant bien que mal à nettoyer ...
    ... le sol. Quand nous jouissons, c’est encore jour de fête, le feu d’artifice en prime et quel feu d’artifice. Je crois que j’ai définitivement pigé comment elle fonctionne.
    
    En gros, je ne dois pas être le bourreau intraitable et sadique. Je dois l’être, oui, mais un peu. Cela étant, si je lui cause des douleurs, elles doivent être savamment dosées pour que je puisse lui donner, de l’autre côté de la barrière douloureuse, du plaisir avec mes mains, ma queue ou tout autre objet lui permettant de vibrer de bonheur. Oui, j’ai pigé ça !
    
    Le carrelage de la cuisine propre, elle continue dans la salle à manger, prenant un plaisir non dissimulé à effectuer ce labeur sans ne pouvoir se servir que de sa bouche. Ses bras dans le dos, ses chevilles repliées et attachées à ses cuisses, son corps recouvert de chaine, elle prend un réel plaisir. Du reste, quand l’extrémité de la cravache glisse entre ses fesses ouvertes, elle jouit encore. Pour se déplacer, elle peut s’aider de ses genoux et de ses épaules, de même pour changer de place le seau d’eau à l’aide de son menton. Je la suis, sans la quitter de l’œil, cherchant à mieux connaitre les désirs de ce corps, ses aspirations, ses fantasmes non encore dévoilés.
    
    À un moment, je me montre encore plus sauvage, je la redresse par sa tignace, lui retire l’éponge de sa bouche pour la remplacer par ma queue qui souffre d’être en perpétuelle érection. Elle pompe et vigoureusement. C’est un peu comme dans un de ces films pornos. Sa tête ...
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