1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : un séjour candauliste


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... déformé par le plaisir, je sentais mon cœur battre violemment, je pensais que j’allais mourir de plaisir.
    
    Après un ultime orgasme dévastateur, ils se retirèrent de moi et enlevèrent leurs capotes et éjaculèrent de concert sur mon cul, mes seins et mon visage. Quels flots de sperme, je reçus.
    
    LA RECOMPENSE DU MARI CANDAULISTE
    
    J’ouvris les yeux, j’avais ma chatte et mon cul grands ouverts à quatre pattes sur le lit. J’étais complétement épuisée, mais je voulais récompenser Philippe pour cette merveilleuse séance.
    
    • Viens chéri, viens me donner ton foutre dans le trou que tu veux ! ! ! !
    
    • J’arrive ma petite garce, je vais remplir de sperme chaud ton petit cul de vicieuse.
    
    Youssef et Ibrahim, sur un signe de Philippe se retirèrent discrètement. Ils venaient de me baiser pendant près d’une heure et étaient eux-aussi épuisés.
    
    Philippe présenta son gland à l’entrée de mon cul largement ouvert.
    
    Il me pénétra sans difficulté et après une très courte fornication, il me déversa tout son jus bien chaud dans mes entrailles, bien à fond et j’obtins ainsi mon ultime orgasme de la soirée. Je m’effondrais sur le canapé, morte de jouissance.
    
    • Tu as été superbe ma chérie, tu es vraiment une sacrée baiseuse !
    
    Je marmonnais des mots sans suite et m’endormis dans ses bras, ivre de plaisir.
    
    Le lendemain, je me réveillais, Philippe me regardait de nouveau.
    
    • Je vais te baiser ma chérie, hier soir, je n’ai pas eu mon compte, trop excité que j’étais.
    
    • Oui, ...
    ... viens mon amour.
    
    D’habitude, c’est moi qui prends l’initiative au réveil le matin.
    
    Nous avons notre rituel, qui consiste à ce que, réveillée la première, je prends en bouche la queue de mon chéri encore endormi. La fellation que je pratique alors sur lui finit de le réveiller. Il se laisse faire, véritable homme objet, jusqu’à ce qu’il se vide dans ma bouche gourmande.
    
    Ce matin, c’était différent, il prenait l’initiative et voulait être le premier à posséder celle qui s’était tant donnée la veille.
    
    Philippe, contrairement à ses habitudes, ne s’attardait pas en baisers et en caresses. Il voulait me baiser. J’écartais donc en grand mes cuisses pour recevoir le sexe bandé de mon homme.
    
    Philippe m’a pistonné, d’abord avec douceur puis très vite avec force, sa queue moins volumineuse que les autres m’a donné beaucoup de plaisir et j’ai gueulé ma jouissance lorsqu’il a éjaculé en moi.
    
    J’avais envie de parler, de faire le point sur notre couple, sur nos pratiques. Dans les bras l’un de l’autre, nous avons eu une longue conversation.
    
    Philippe, me regardait, infiniment tendre. Il m’embrassait et me caressait délicatement, amoureusement.
    
    • Tu as aimé, chéri ?
    
    • Te baiser dès le matin ? Bien sûr !
    
    • Je pensais à hier soir. Ca t’a plu ?
    
    • J’ai adoré. Tu es unique, mon Olga. Je t’aime tant.
    
    • Mais qu’est-ce que tu veux voir, tu me vois quand on fait l’amour !
    
    • Mais dans ce moment-là... tu es simplement magnifiée. Au final, c’est ton corps que je ...
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