Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : un séjour candauliste
Datte: 05/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
Ce séjour en Tunisie (« Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le plaisir d’avoir un mari bisexuel », paru le 14 juillet 2019), avait été l’occasion de réveiller, et de quelle manière, la bisexualité de Philippe et le plaisir si fort que j’ais d’assister aux ébats entre hommes.
C’est sans doute le moment où je comprends le mieux et partage le candaulisme de Philippe. J’apprécie cela d’autant plus que c’est rare, et même exceptionnel. Pour parvenir à ce résultat, je l’avais plus qu’encouragé, je l’avais fortement poussé à aller au bout des contacts qu’il avait eus sur les réseaux sociaux avec Mohamed.
Dans les jours qui ont suivi, Mohamed revenait régulièrement nous voir, insatiable de faire l’amour avec mon mari, ou plutôt de le baiser, car il le traitait comme sa femelle.
Le jeune Tunisien n’en revenait pas qu’un homme mûr, marié, père de famille, bisexuel, puisse être aussi chaud et accro à sa queue.
Mohamed avait entraîné Philippe dans d’autres débauches homosexuelles et partagé avec des amis à lui le corps de mon chéri, et tout particulièrement sa bouche et son cul. Je ne l’ai su que plus tard et j’en ai été furieuse, car cela constituait un accroc à notre pacte candauliste, selon lequel nous ne devions rien nous cacher. Je dois cependant reconnaitre que j’étais mal placée pour reprocher quoique ce soit à Philippe. J’étais surtout frustrée de n’avoir pas pu assister à ces séances qui m’auraient particulièrement excitées.
Je crains ...
... d’avoir joué avec le feu et que Philippe ne tombe amoureux du beau Mohamed et que, du coup, il vire sa cuti, au point de menacer la pérennité de notre couple, alors qu’il venait de se reconstituer et restait fragile, puisque nous étions quelques mois après la découverte de l’adultère prolongé entre Philippe et Ambre.
Philippe me rassura, aussi bien en se montrant assidu et performant auprès de moi, mais aussi en jurant que ses sentiments n’allaient qu’à moi. La relation avec Mohamed n’était qu’une histoire de cul.
De mon côté, mes sens étaient exacerbés par le climat érotique qui avait été ainsi créé. Il y avait cette année-là, dans le contexte sécuritaire de la Tunisie, au lendemain d’attentats terroristes, peu de touristes.
Nous bénéficiions donc de toutes les attentions, spécialement moi. Je pouvais constater, aux regards qui m’étaient adressés et, fine observatrice, aux érections, l’effet que je provoquais. Il est vrai, qu’encouragé par Philippe, je donnais libre cours à mes tendances exhibitionnistes. A la plage privée de l’hôtel, mes bikinis cachaient le moins possible mes seins et seul un fin string de bain cachait ma vulve, soigneusement épilée. Philippe m’avait offert ces bikinis, lui qui aime tout particulièrement que je m’exhibe.
Il fallait donc que moi-aussi je profite du séjour. Je m’en suis ouverte à Philippe, qui m’a encouragé, me disant :
• Je t’ai offert mon plaisir, ma chérie. C’est un juste retour des choses que je puisse maintenant te voir ...