1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : un séjour candauliste


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... au travers de son pantalon.
    
    Ibrahim extirpa de son bermuda son membre déjà bandé, il était large et plein de veines apparentes.
    
    Il me le présenta à sucer et je le gobais sans faillir.
    
    Hum cette queue dans ma bouche, quel délice, cette langue et ces doigts dans ma chatte, quel bonheur et mon mari qui me regardait, c’était divin.
    
    Ibrahim et Youssef échangèrent leur place et je fus émerveillée de voir la longue pine de Youssef sous mon nez, elle était grosse et longue. Je me mis à le sucer avec ardeur en la prenant dans une main et je lui caressais les fesses de l’autre.
    
    Ibrahim me titillait le clitoris avec sa langue. Très vite, j’obtins un nouvel orgasme.
    
    J’en voulais davantage. Je voulais qu’on me baise. Philippe avait mis à leur disposition des préservatifs.
    
    Ibrahim présenta sa grosse queue à l’entrée de ma chatte, détrempée et en fusion. Il s’enfonça délicatement en moi et je sentais bien sa large queue me frotter mes parois vaginales, cette sensation m’excita tellement que je m’arcboutais pour mieux la recevoir bien à fond.
    
    • Oh, enfin, que c’est bon ! Vas-y Youssef, baise-moi !
    
    Oh, que cela m’avait manqué. Des semaines sans avoir fait l’amour avec un autre homme que Philippe. Et pire, le climat érotique dans lequel nous étions depuis notre arrivée, les scènes auxquelles j’avais assistées avec Philippe, la séance avec Karim qui m’avait laissé insatisfaite, et tous ces mâles qui me tournaient autour et ne cachaient pas qu’ils voulaient me baiser. ...
    ... J’étais en chaleur comme je l’avais rarement été.
    
    Philippe s’était levé pour mieux voir. J’étais heureuse de jouir devant lui. Cette sensation d’être observée, pendant que je suçais la longue tige d’Youssef et qu’Ibrahim me ramonait en profondeur, était sublime.
    
    • Allez, Messieurs, baisez la bien, elle en veut, c’est une vicieuse, je vous l’ai dit, j’ai épousé une bonne petite cochonne qui aime se faire sauter devant son mari, allez donner lui vos queues, qu’elle hurle de bonheur.
    
    A ces mots, je sentis en moi comme une déferlante de plaisirs et je me mis à jouir encore plus sans me retenir.
    
    • Vous voyez elle aime ça, elle en veut encore.
    
    • Oh oui, Philippe, mon amour, viens m’embrasser et vous, allez-y, démontez-moi, baisez-moi, comme une chienne, comme une salope !
    
    Ibrahim se retira de moi et Youssef prit sa place et tout s’accéléra quand je sentis cette longue bite me perforer, je ne pus me contenir et j’écartais en grand mes jambes pour mieux la recevoir.
    
    Après un moment, Youssef me retourna et je me retrouvais en levrette. Je reçus une nouvelle fois la bite d’Ibrahim à sucer. Mais cette fois ci, j’étais trop à ma jouissance pour me concentrer sur sa queue. Il prit ma tête à deux mains et s’activa dans ma bouche comme dans une chatte.
    
    J’étais perforée en cadence, je jouissais. Philippe les encourageait.
    
    Ils s’activèrent en moi en rythme et je jouis encore dans un feulement de bête. Ils échangèrent de nouveau leur place et ce fut avec délice que ...
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