1. Avec Ondine : au Réveil


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... aussitôt sur ma bite. Sans pitié, elle me branle doucement tout en me demandant de me retenir. Je m’installe à genoux derrière elle, soulève son bassin pour mieux la prendre en levrette et m’enfonce dans le chemin du Paradis. Ondine à la tête posée sur l’oreiller, les yeux mi-clos, elle ronronne toujours, je fais des vas et viens très lents m’arrêtant lorsque je sens que je risque d’exploser. Une fois de plus, c’est elle qui met fin au délicieux supplice en bandant les muscles de son vagin, je n’ai rien vu venir, la lumière blanche ! ! ! La béatitude, je retrouve mon sperme dans la capote. Je me laisse tomber à côté d’Ondine qui s’est mise sur le dos, nous regardons le plafond à l’unisson, la gorge serrée par le moment intense que nous venons de vivre.
    
    La réalité se rappelle à nous avec le réveil qui se met à sonner, Ondine se lève pour prendre sa douche et moi je me débarbouille le visage et nettoie la queue dans le lavabo. J’ai encore un peu de temps devant moi et décide de préparer le petit-déjeuner. J’ouvre les volets quand Ondine sort de la douche. Dieu qu’elle est belle, se tenant bien droite, les petits seins fièrement pointés sans un soupçon de pesanteur, une taille fine, un petit ventre plat, un cul (je me répète) ‘la ...
    ... perfection’, de longues jambes fines et galbées. Elle se meut d’un pas léger, souple et gracieux. Voyant mon œil concupiscent, elle enfile vite un peignoir.
    
    Il fait clair maintenant, le soleil essaie de percer le brouillard et va bientôt y arriver. Ondine s’installe en face de moi sur la petite table les yeux rieurs. Elle porte une serviette de bain nouée sur la tête qui la fait ressembler à une princesse hindoue, quelques boucles de cheveu noir de jais enserrent son visage qui affiche le sourire qui ne la quitte jamais. Pendant que nous mangeons, je sens son pied qui remonte le long de ma jambe et se dirige vers mon bas-ventre. Je crains qu’elle n’allume un nouvel incendie. Mais non, elle veut juste me déclarer qu’elle a apprécié.
    
    • Dieu, que c’était bon ! Je n’ai jamais connu un réveil pareil, se faire lécher le cul et la minette comme ça au matin est un vrai un délice ! Mais suprême délice, pouvoir se soulager comme ça sans avoir à sortir du lit est une jouissance particulière, le délice de la transgression d’un tabou inculqué dans la plus tendre enfance…
    
    Après un court silence, coquine, elle ajouta.
    
    • Et dire qu’on m’a toujours laissé ignoré qu’il me suffisait de pisser pour faire bander mon amant.
    
    Fantasme, quand tu nous tiens. 
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