1. Avec Ondine : au Réveil


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Galileo, Source: Hds

    CHAPITRE III
    
    Le réveil d’Ondine
    
    Dimanche, j’ai quitté Ondine il y a vingt-quatre heures, depuis je n’ai pas cessé de penser à elle et à l’après-midi torride que nous avons vécu ensemble. Ni tenant plus, je lui téléphone, malheureusement elle n’est pas libre, passant sa journée avec des copains et copines de fac. Finalement c’est une bonne chose car j’aurais eu du mal à trouver un alibi pour ma femme.
    
    Je dois partir en déplacement le lendemain matin. Alors elle me propose de passer chez elle avant de partir et d’en profiter pour lui apporter des croissants pour le petit déjeuner.
    
    Lundi matin, je quitte ma banlieue à six heures pour éviter les embouteillages (c’est ce que j’ai dit à ma femme). Je passe chez le boulanger qui n’est pas encore ouvert mais, en frappant à la fenêtre de son atelier, je peux obtenir des croissants tout chauds. Ça y est, il ne me reste plus qu’à me rendre chez Ondine.
    
    Il fait encore nuit lorsque je gare ma voiture prés de chez elle, il y a du brouillard mais la journée sera sûrement ensoleillée, pour l’instant il fait plutôt frais. Comme d’habitude, Paris est déjà en mouvement, derrière les vitres embuées des bus on aperçoit des ombres emmitouflées, quelques piétons se dépêchent pour prendre le métro, une maman emmène son enfant chez sa nourrice. Évidemment, tous ces gens ne peuvent pas savoir que je vais retrouver ma maîtresse, ils s’en moquent d’ailleurs, mais moi je ressens une émotion comme un gamin qui se rend à son premier ...
    ... rendez-vous.
    
    Grâce à la clé qu’Ondine m’avait donnée, j’ouvre les portes, de l’immeuble puis du studio, sans bruit. Le petit studio est plongé dans le noir mais heureusement l’éclairage de la rue filtre à travers les persiennes, laissant des traits de lumière sur le lit où Ondine dort encore. Après un moment d’accoutumance, je m’avance sans bruit, je pose mes croissants sur la petite table et me mets à genoux prés du lit. J’aimerais lui donner un petit bisou mais mon nez est encore glacé. Je le réchauffe avec mes mains lorsque l’obsession qui m’a taraudée tout le week-end remonte à la surface. Je meurs d’envie d’embrasser son cul.
    
    Délicatement, je soulève la couette en évitant de faire rentrer trop d’air froid. Je me glisse dessous, Ondine est couchée en chien de fusil, nue, j’arrive par derrière. Une forte odeur de femme m’envahie, excitante, elle m’enivre.. Je touche son cul avec ma joue, c’est doux…J’approche mes lèvres de son minou, il est tout sec, je tente d’introduire ma langue entre ses lèvres et puis non, je reviens doucement vers son cul et lui lèche délicatement la raie. Ondine a un petit mouvement et semble se réveiller. Je recule instantanément. Dés qu’elle ne bouge plus, je reviens vers sa chatte, j’écarte ses petites lèvres avec ma langue, et là, divine surprise, ce n’est pas sec, au contraire c’est humide, très humide, une mouille épaisse. Ondine se réveille, se retourne sur le dos et pose une jambe par-dessus mon épaule. Je lèche, j’aspire, j’avale tout ce jus ...
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